mercredi 25 septembre 2019

Ce monde dont la reine médiatique est une enfant autiste…


Elle cause, elle cause, la gamine. Ou plutôt, on la fait causer, toujours plus et partout.

Et de plus en plus, il semble évident qu’elle y prend du plaisir.

Elle est totalement rentrée dans le rôle que ses manipulateurs lui ont dévolu. Aussi, elle se sent partout chez elle : à l’Élysée, au Vatican, à l’ONU. Désormais rien ne l’arrête. Ainsi, à l’ONU, a-t-elle engueulé ce pauvre Macron qui s’est trouvé dans la situation de l’arroseur arrosé, lui qui se croyait encore le plus jeune des jeunes. Eh oui, Macron, les enfants sont impitoyables, tu le savais pas, t’en as pas. L’ingrate Greta, que tu avais si bien accueillie à Paris, eh bien, chez les onusiens, elle t’a traité comme un « vieux con ». 

Et voilà qu’on parle de lui refiler le prix Nobel, à la gosse.  

Alors, elle ne va plus se sentir, s’imaginant déjà pouvoir lancer sur les cinq continents des myriades et des myriades de jeunes contre les séniles et les préséniles coupables de tous les génocides climatiques. 

Cela me rappelle plusieurs choses : 

-        Pas si loin de nous, la révolution culturelle lancée contre les caciques du parti communiste chinois par le père Mao aussi rusé que monstrueusement exterminateur. Et les gamins qui brandissaient son bouquin, si admirés de tous nos Sartre et Althusser, et de Bernard-Henri Lévy, en venaient à organiser des banquets révolutionnaires anthropophages où ils déchiraient à pleines dents leurs vieux cons de profs.  Il fallut toute l’armée rouge pour en zigouiller quelques milliers et remettre les autres au boulot. Greta eût fait une bonne et très massacreuse petite garde-rouge avant de se faire expédier en quelque camp du Laogaï. 

-        Mais Greta, cette nénette évidemment fabriquée, conditionnée, manipulée me rappelle plus encore le célèbre golem de Prague (XVII° siècle) kabbalistiquement créé, quasi ex-nihilo, par des rabbins très instruits, au nombre de dix (un « myniam ») pour pourchasser les ennemis de leur peuple. Las, le Golem se mit vite à déconner, faisant les pires bêtises, échappant bientôt totalement à leur contrôle. Ce fut très difficile pour les sages d’Israël de l’envoyer rejoindre le néant d’où ils l’avaient imprudemment tiré.

Ce sera peut-être aussi difficile pour en finir avec les golemeries de Greta. D’autant que François, son cher « papécolo », du genre des vieux soumis qui l’admirent et qu’elle supporte, l’appuie de toutes forces, histoire d’être lui aussi, comme Johnny, une idole des jeunes. 

Certes, d’autres encore, et surtout les medias, vont continuer pendant quelque temps de jouer la carte Greta.

Mais il en est pourtant, et non des moindres, qui n’apprécient pas que puisse continuer longtemps le jeu du golem avec la marionnette Greta. Ils s’appellent Erdogan, Poutine, Trump, Modi, Xi.

Cela dit, quelques questions : qui donc a lancé Greta, qui la finance, qui paie ses voyages, qui écrit ses discours ? La question est trop rarement posée. Nous nous efforcerons d’y répondre.