Voici à nouveau en difficulté, malgré tous ses
renflouements fiscaux et capitalistes, le quotidien dérobé par le parti
communiste en 1920. Ce jour, au bulletin de 13 h de France-Inter, la
super-radio de désinformation étatique évoque cela.
Depuis longtemps
« L’Huma » ne vit plus en effet grâce à ses acheteurs de plus en plus
rarissimes mais du fait de ses abonnés institutionnels (collectivités,
administrations, Air France, etc…), des soutiens capitalistes et des
subventions gouvernementales à la presse dite d’opinion.
Nonobstant cela, une fois
encore, « L’Huma » est sur le point de déposer son bilan. Tout le
boboland néo-bolchevique s’en émeut mais pas seulement : tous les « masos »
aussi de la décomposition culturelle et mémorielle.
Et à France-Inter, où l’on se
mobilise pour que survive ce dinosaure de la longue ignominie léniniste et de
la collaboration hitléro-stalinienne, on présente ce jour sans vergogne l’Huma
comme « le journal de Jaurès ».
On le sait, un mensonge est
d’autant mieux étayé qu’on peut le faire reposer sur une apparente vérité. Et
c’est ici un cas d’école. L’Humanité fut en effet le quotidien du parti
socialiste français fondé en 1904 par Jean Jaurès. Or, Jaurès ayant été assassiné
le 31 juillet 1914, après la guerre, en 1920 les communistes, au Congrès de Tours,
prirent le contrôle du parti socialiste et le transformèrent en quelques
épisodes en parti communiste français.
Et ils s’emparèrent aussi de
l’Humanité qui ne fut donc plus « le journal de Jaurès » mais dès
lors l’organe lénino-stalinien de la propagande et de la désinformation
soviétique en France.
Staline y fut jusqu’à sa mort
constamment encensé, louangé, divinisé par des crapules, au premier rang
desquelles était Aragon appelant de ses vœux un « Guépéou à la
française » et à « célébrer l’éclat des fusillades ».
À l’été 1940, l’Humanité,
éditée clandestinement car interdite par le gouvernement du socialiste
Daladier, est alors devenue un organe « collabo », ayant appuyé
totalement le pacte germano-soviétique, hitléro-stalinien du 23 août 1939 et
approuvant l’invasion de la Pologne par l’armée nazie et par l’armée rouge.
Journal collabo jusqu’au 22
juin 1941, date de l’opération « Barbarossa » lancée par Hitler
contre son allié soviétique.
L’Humanité a été ainsi – s’en
souvient-on ? – durant près de deux ans, le quotidien le plus ignoblement
doublement collabo puisque défendant l’alliance nazie et communiste.
Après quoi, elle fut la feuille
de propagande de la stalinolâtrie et de toutes les campagnes de trahison contre
l’armée française se battant en Indochine, en Corée, en Algérie ; approuvant
systématiquement toutes les répressions et massacres soviétiques dans tous les
pays du pacte de Varsovie.
Hélas, on peut penser que tout
sera mis en œuvre dans la macronnerie comme dans la mélenchonnerie, et dans
tous les réseaux de la connivence médiatique, pour sauver ce torchon centenaire,
puisque volé en 1920, ayant sans cesse soutenu toutes les trahisons contre
notre peuple.
NB :
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Demain : entretien télévisé sur TV Libertés
avec Martial Bild et Pierre Cassen de Riposte Laïque sur son excellent livre : « Et la gauche devint la putain de l’islam ».
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Mercredi de 18 h à 21 h, j’anime l’émission de
la Réplique sur Radio-Courtoisie avec Cécile Montmirail, Hortense Sauveur,
Jeanne Smits, Pierre Henri.
De 19 h
30 à 21 h : grand débat sur « le racisme antiblanc » avec Me
Jérôme Triomphe (s’il peut quitter assez vite une audience !), Me David
Dassa-le Deist, Me Gilles-William Goldnadel.