lundi 28 janvier 2019

« L’Humanité » en péril ? Infox sur cet ignoble canard collabo à France-Inter.


Voici  à nouveau en difficulté, malgré tous ses renflouements fiscaux et capitalistes, le quotidien dérobé par le parti communiste en 1920. Ce jour, au bulletin de 13 h de France-Inter, la super-radio de désinformation étatique évoque cela.

Depuis longtemps « L’Huma » ne vit plus en effet grâce à ses acheteurs de plus en plus rarissimes mais du fait de ses abonnés institutionnels (collectivités, administrations, Air France, etc…), des soutiens capitalistes et des subventions gouvernementales à la presse dite d’opinion. 

Nonobstant cela, une fois encore, « L’Huma » est sur le point de déposer son bilan. Tout le boboland néo-bolchevique s’en émeut mais pas seulement : tous les « masos » aussi de la décomposition culturelle et mémorielle.

Et à France-Inter, où l’on se mobilise pour que survive ce dinosaure de la longue ignominie léniniste et de la collaboration hitléro-stalinienne, on présente ce jour sans vergogne l’Huma comme « le journal de Jaurès ».

On le sait, un mensonge est d’autant mieux étayé qu’on peut le faire reposer sur une apparente vérité. Et c’est ici un cas d’école. L’Humanité fut en effet le quotidien du parti socialiste français fondé en 1904 par Jean Jaurès. Or, Jaurès ayant été assassiné le 31 juillet 1914, après la guerre, en 1920 les communistes, au Congrès de Tours, prirent le contrôle du parti socialiste et le transformèrent en quelques épisodes en parti communiste français.

Et ils s’emparèrent aussi de l’Humanité qui ne fut donc plus « le journal de Jaurès » mais dès lors l’organe lénino-stalinien de la propagande et de la désinformation soviétique en France. 

Staline y fut jusqu’à sa mort constamment encensé, louangé, divinisé par des crapules, au premier rang desquelles était Aragon appelant de ses vœux un « Guépéou à la française » et à « célébrer l’éclat des fusillades ». 

À l’été 1940, l’Humanité, éditée clandestinement car interdite par le gouvernement du socialiste Daladier, est alors devenue un organe « collabo », ayant appuyé totalement le pacte germano-soviétique, hitléro-stalinien du 23 août 1939 et approuvant l’invasion de la Pologne par l’armée nazie et par l’armée rouge.   

Journal collabo jusqu’au 22 juin 1941, date de l’opération « Barbarossa » lancée par Hitler contre son allié soviétique.

L’Humanité a été ainsi – s’en souvient-on ? – durant près de deux ans, le quotidien le plus ignoblement doublement collabo puisque défendant l’alliance nazie et communiste.

Après quoi, elle fut la feuille de propagande de la stalinolâtrie et de toutes les campagnes de trahison contre l’armée française se battant en Indochine, en Corée, en Algérie ; approuvant systématiquement toutes les répressions et massacres soviétiques dans tous les pays du pacte de Varsovie.

Hélas, on peut penser que tout sera mis en œuvre dans la macronnerie comme dans la mélenchonnerie, et dans tous les réseaux de la connivence médiatique, pour sauver ce torchon centenaire, puisque volé en 1920, ayant sans cesse soutenu toutes les trahisons contre notre peuple. 

NB : 

·       Demain : entretien télévisé sur TV Libertés avec Martial Bild et Pierre Cassen de Riposte Laïque sur son excellent livre : « Et la gauche devint la putain de l’islam ». 

·       Mercredi de 18 h à 21 h, j’anime l’émission de la Réplique sur Radio-Courtoisie avec Cécile Montmirail, Hortense Sauveur, Jeanne Smits, Pierre Henri.

De 19 h 30 à 21 h : grand débat sur « le racisme antiblanc » avec Me Jérôme Triomphe (s’il peut quitter assez vite une audience !), Me David Dassa-le Deist, Me Gilles-William Goldnadel.