lundi 7 janvier 2019

Gendarmes, boxeurs et grande truanderie politico-mondialiste.


Dans mon enfance, à l’école primaire mixte et laïque de Bazet (près de Tarbes), mes petits camarades et moi (les garçons, pas les filles), nous aimions beaucoup occuper nos récréations en jouant « aux gendarmes et aux voleurs ».

Nos instituteurs, quoique férocement de gauche, n’étaient pas imprégnés alors de l’idéologie du « genre » et ne sévissaient pas contre les filles jouant « à la marelle » et quelques-unes encore à la poupée.

Cela m’est remonté en mémoire en regardant hier au soir la scène de l’affrontement des « gendarmes et du boxeur ». Quoique seulement porteur de gants usuels (pas des gants de boxe), ce puissant boxeur, paraît-il indigné par le manque d’urbanité des gendarmes chargés de bloquer les manifestants gilets jaunes, s’est laissé aller, sans doute avec une « niaque » excessive et imprudente, à un usage certes regrettable du « noble art » qu’affectionne par ailleurs le premier ministre Edouard Philippe. 

Il s’est aujourd’hui livré avec raison aux autorités non sans indiquer les raisons de sa colère, circonstances au moins aussi atténuantes que celles invoquées pour les brutalités non moins excessives du commissaire toulonnais.

Décidément, le temps, en cette période, est à la boxe, surtout depuis qu’Alexandre Benalla, jadis le bien aimé, officiait à la fois comme gendarme et comme boxeur.

Mais voilà que l’on en apprend de plus en plus sur la nature humaniste de ce personnage, qui, à lui seul, mériterait un grand prix onusiaque pour son action en faveur des négociations inter-affairistes, un « Humaniste » en effet, au sens où on l’entend en maçonnerie, car Benalla a été, très jeune, initié à la GLNF. 

Homme de paix puisque indistinctement ami de l’affairiste israélien Philippe Hababon Salomon, possesseur quant à lui d’un passeport diplomatique de Guinée-Bissau, très proche encore de l’ancien trotskyste et dirigeant socialiste passé par l’Union des étudiants juifs de France, Julien Dray, (le grand amateur de montres de grand prix), mais surtout du richissime syrien Mohamad Izzat Khatab, bienfaiteur d’organisations islamiques et propriétaire de luxueuses demeures en Syrie, en France et ailleurs.

On le voit, aussi à l’aise avec des juifs qu’avec des musulmans, tant chiites que sunnites, Benalla pourrait à l’évidence tenir un très haut poste de chargé de missions de paix à l’ONU.
Gageons que lorsque Emmanuel Macron aura quitté l’Élysée, ce qui ne saurait tarder, Benalla pourra l’accueillir dans la belle équipe de philanthropes planétaires qu’il ne va pas manquer de développer avec son cher ami Alexandre Djouri sur lequel nous aurons l’occasion de revenir.