
Ce fut notamment le
massacre, sur le modèle des exterminations soviétiques et maoïstes en URSS et
en Chine, de 700 000 paysans du Nord.
Hô Chi Minh fut aussi le
bourreau en chef du système des camps de la mort pour les combattants français
prisonniers du Vietminh, tel le camp 113 du traître tortionnaire Boudarel, où l’on
mourait dans les mêmes proportions qu’à Auschwitz. Souvenons-nous enfin des
civils français épouvantablement massacrés par milliers, à Hanoï et ailleurs.
On aurait compris que le
Premier Ministre Édouard Philippe aille au Vietnam et à Dien Bien Phu pour
évoquer les sacrifices des soldats des deux camps. Mais à Hanoï, visitant le
quartier général de Hô Chi Minh, il a déclaré ceci :
« À Hanoï, je suis heureux de célébrer l’amitié
entre nos deux peuples et de rendre hommage au Président Hô Chi Minh, artisan
de l’indépendance d’une grande et belle Nation. L’austérité sereine du bureau
de Hô Chi Minh montre combien le travail et le calme, la détermination et la
constance servent les projets des États ».
Cette glorification du
bourreau de tant de nos compatriotes et alliés héroïques du peuple vietnamien
est tout simplement abjecte.
Elle relève d’une
impardonnable trahison mémorielle.