mercredi 24 janvier 2018

Selon la Cour de cassation, les Femen peuvent outrager des manifestants catholiques en toute tranquillité – mieux, l’AGRIF va devoir les y aider en versant 3 000 euros pour couvrir leurs frais d’avocat !



La Cour de cassation a rejeté, le mardi 23 janvier, le pourvoi formé par l’AGRIF contre la décision de relaxe des Femen par la Cour d’appel de Paris dans l’affaire de la manifestation contre le « mariage pour tous » à Paris le 18 novembre 2012. L’AGRIF les poursuivait pour obtenir réparation des injures qu’un groupe de ces féministes au poitrail dénudé avaient proféré de diverses manières à l’égard des catholiques en faisant violemment irruption dans le cortège.
La Cour de cassation a rendu un arrêt qui doit inciter à se demander si les lois « antiracistes » ne sont pas bonnes à mettre au rebut.
Eloïse Bouton, Fanny Fraslin, Sarah Heulin, Valérie Rousell et Inna Schevchenko ont obtenu une décision qui les reconnaît comme auteurs d’injures, s’étant affublées de coiffes de religieuses pour mieux tourner ces dernières en ridicule, mais aussi de slogans et de gestes « pour partie obscènes ». Mais la Cour justifie cela au motif de « deux libertés d’expression » en « conflit » le jour de la manifestation, « dans des formes qui demeurent tolérables dans une société démocratique ».
Oui, elles arboraient les mots « Fuck Church » sur leurs torses, mais le « plus violent » de leurs slogans « s’adressait à... Lire la suite : 

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