Tout ce que l’on a pu
entendre à la radio ou lire dans le Parisien, c’est qu’un homme d’une trentaine
d’années, d’origine tunisienne, a été « battu à mort » à Montreuil
par une bande d’une quarantaine d’individus. Cela s’appelle pourtant un
assassinat par lynchage.
Mais cet assassinat-là,
on ne peut semble-t-il l’imputer à quelque bande de « skinheads »
(dons assimilés à de l’extrême-droite). Alors les medias n’y accordent qu’une
très minimale attention. Comme si toute imputation raciste en était impossible.
Ainsi un lynchage
caractérisé n’est-il traité que comme un fait divers sans grand intérêt dès
lors que l’on ne peut, le commenter à la lumière de la dialectique de l’antiracisme.
Nous reparlerons de cela
mercredi dans notre émission de la réplique sur Radio-Courtoisie.
Élections législatives partielles dans le territoire de
Belfort et dans le Val d’Oise.
Comme il peut hélas
aujourd’hui en être assez souvent, on trouve plus matière à satisfaction en
constatant une défaite qu’à la nouvelle des victoires.
Dans les deux cas, aucun
succès d’un candidat de « droite de conviction » ne se profile pour
le second tour.
Rappelons brièvement que
les valeurs prioritaires d’une authentique droite de conviction sont celles du
respect de la vie, de la liberté de l’enseignement (et de l’égalité de
financement), de la défense de notre identité de civilisation, de lutte contre
les totalitarismes.
À Belfort, on enregistre
donc avec satisfaction la cinglante défaite de Sophie Montel, vice-présidente
du parti jacobin de M. Philippot et militante prosélyte acharnée de l’avortement
et autres contre-valeurs sociétales de gauche. Montel, avec moins de 2 % des
voix, n’obtient que le quart du résultat du candidat du FN que le duo
Philippot-Montel voulait battre.
Cela dit, le score du FN
est bien médiocre, ce qui ne nous afflige pas non plus tant ce parti n’est plus
depuis longtemps représentatif des valeurs rappelées ci-avant et s’est installé
dans une conformiste médiocrité « ni droite ni gauche » dont, sans
doute, seul pourrait le tirer un changement significatif d’équipe dirigeante.
Mercredi sur Radio-Courtoisie.
L’équipe de la réplique
sera au grand complet avec Cécile Montmirail, Jeanne Smits, Hortense Sauveur,
Pierre Henri et Jérôme Triomphe.
Au menu notamment :
En première partie :
1)
Politique intérieure :
-
La
tromperie du nationalisme corse, maçonnique et immigrationniste.
-
Non
au retour des jihâdistes
-
La
question des prisons.
2) Politique
internationale :
-
Le
Congo de Laurent Kabila (le rôle de l’Église catholique – le poids de la
Chine).
-
Les
rivalités au Proche-Orient (Turquie – Iran – Syrie – Lybie – les stratégies de
la Russie et des États-Unis – la question kurde).
-
Israël
et l’immigration.
En deuxième partie :
-
Le
crime de Montreuil.
-
Les
procès de l’AGRIF.
-
Hidalgo
et Che Guevara – la manipulation « Mai 68 – mai 2018 ».