
Mais la Cour de
cassation, ayant cassé cet appel d’une manière très sévère sur le fond, avait
ordonné que le procès soit déporté devant la Cour d’appel de Lyon. Cette
dernière a jugé que les propos poursuivis étaient de nature à mériter une
condamnation, certes à la peine symbolique d’un euro de dommages et intérêts,
mais condamnation explicite et significative assortie de l’injonction de verser
3000 € à l’AGRIF pour ses frais de procédure et d’avocat.
Cette satisfaction
judiciaire marque le combat mené par l’AGRIF face à l’entreprise de haine
contre la France, les Français et les blancs, inspiré par madame Houria
Bouteldja, porte-parole du PIR ( Parti des Indigènes de la République). Ce
parti, fer de lance de toute une mouvance tenant des discours de guerre civile,
a tenté à ses débuts de s’avancer sous le couvert de l’idéologie de
l’antiracisme.
Mais nous en avons
démonté la dialectique de camouflage, mettant en évidence le fait que, selon
notre expression, l’antiracisme est en fait « un racisme en sens contraire ».
L’AGRIF défend, quelle
que soit soient leur race, ou leur religion, tous les Français injuriés ou
agressés pour le seul fait d’être français. Elle défend notamment les
chrétiens, quelle que soit leur origine, discriminés ou persécutés pour le seul
fait d’être chrétien.
L’arrêt de la Cour
d’appel de Lyon manifeste combien est nécessaire le combat de l’AGRIF contre le
racisme de l’islamo-gauchisme.