L’organisation par le
syndicat de gauche Sud-Éducation d’un stage soi-disant
« antiraciste » mais d’apartheid anti-blanc révèle combien il n’est
plus désormais qu’une courroie de transmission du PIR (Parti des Indigènes de
la République) d’Houria Bouteldja et de son conseiller idéologique Saïd Bouamama.
Ce stage a pour but
essentiel « la lutte contre l’islamophobie ». On sait ce que cela
recouvre en réalité : une active propagande d’islamophilie.
Sud et le PIR
assortissent cela de la provocation délibérée d’une « formation »
d’un apartheid séparant les enseignants blancs des non-blancs.
Depuis bientôt 10 ans
(première plainte le 13 février 2008), l’AGRIF a été la seule association à
porter devant la justice les propos racistes d’Houria Bouteldja, traitant les
Français de « sous-chiens », et les écrits de son mentor Saïd
Bouamama ainsi que les paroles de son rappeur Saïd Saïdou sous les titres de
« Nique la France ».
Tous ceux qui, ministres
et députés, sous les gouvernements de messieurs Sarkozy et Hollande, avaient
juré de ne pas laisser passer pareilles éructations racistes, n’ont finalement
rien fait. Seule l’AGRIF a agi et attend pour le 10 janvier 2018 l’arrêt contre
« Nique la France » de la Cour d’appel de Lyon devant laquelle la Cour
de cassation a heureusement renvoyé l’arrêt cassé de la Cour d’appel de Paris.
Le « stage »
Sud-PIR d’apartheid raciste montre combien madame Bouteldja, devant les
tribunaux, se moquait cyniquement du monde en osant prétendre que... Lire la suite :
http://www.lagrif.fr/s-informer/nos-communiques/70-sud-education-sous-la-coupe-du-pir-islamo-gauchiste-d-houria-bouteldja-l-agrif-porte-plainte