Bernard Antony, président de l’AGRIF,
communique :
On pouvait s’y attendre, le camarade Mélenchon est
monté au filet pour défendre son élue Danièle Obono interrogée sur ses
positions en faveur des racistes antifrançais : le pseudo-penseur Saïd
Bouamama et le rappeur Saïdou, militants algériens derrière l’islamo-gauchiste
Houria Bouteldja. Cette dernière, révisionniste et négationniste de l’histoire
de la colonisation et de l’esclavage, distille en effet une idéologie de haine
coontre la France selon elle raciste et esclavagiste sans jamais considérer les
réalités séculaires de l’esclavagisme turco-arabo-musulman.
Et voilà que le camarade Mélenchon, avec le plus
parfait mépris léniniste de la vérité, distille sa colère dans un surréaliste
amalgame de l’AGRIF (qui n’est pas d’extrême-droite alors qu’il est, lui, d’une
archaïque extrême-gauche) et de milliardaires propriétaires des médias.
Je lance pour ma part au camarade Mélenchon, à madame
Obono comme à Houria Bouteldja le défi de débattre loyalement avec moi et deux
de mes amis sur les contradictions racistes de l’antiracisme.