lundi 29 mai 2017

Festival de Cannes : le lobby raciste antichrétien d’Act Up scandaleusement récompensé.



Ainsi, le festival de Cannes a-t-il attribué son Grand Prix au film « 120 battements par minute ». L’intérêt artistique de cette production est à l’évidence nul.

Mais puisqu’elle était homocratiquement à la gloire d’Act Up, le lobby pour le traitement du sida, prioritaire et préférentiel à ceux de toutes les autres maladies, il allait de soi que ne pas le primer, c’était pour les jurés prendre le risque de tomber sous la suspicion d’homophobie, fût-elle inconsciente, ce qui n’en serait pas moins grave.

Que la lutte contre le virus du sida doive être menée à l’égal de celles contre toutes les maladies mortelles, qui en disconviendrait ?

Et que les personnes atteintes, quelles qu’en soient les causes de transmission, méritent autant de soins et de compassion que ceux frappés par le paludisme (qui tue toujours bien plus) le cancer et bien d’autres maladies, qui oserait le contester ?

Seulement voilà, parce que le sida s’est fortement développé dans les « communautés homosexuelles », il s’est produit comme un phénomène de considération idolâtrique pour cette maladie puisqu’ayant souvent pour cause des comportements déviants que réprouve la Bible et sur lesquels, on s’en souvient, le grand rabbin Sitruk eut des mots terribles.

Or la vérité, c’est que « Act Up » n’a nullement fait progresser la recherche médicale, mais que les fonds recueillis ont servi principalement à de l’agitation et à une propagande de banalisation de l’homosexualité. Ils ont servi ainsi à l’organisation des grotesques, obscènes et très racistes mascarades antichrétiennes du groupe dit « sœurs de la perpétuelle indulgence », pauvres débiles provocateurs grimés en religieuses catholiques en cornettes du temps jadis mais leur déguisement fendu sur l’arrière pour exhiber leurs culs de militants sodomites.   

Act Up a ainsi agi au mépris intolérable de bêtise et de haine pour les innombrables religieuses chrétiennes qui, partout dans le monde, se dévouent aussi bien pour les malades du sida que de la lèpre ou de tant de maladies et pour les victimes des guerres. 

L’AGRIF fit ainsi condamner Act Up à Toulouse pour incitation à la haine antichrétienne. Jugement hélas tristement cassé en appel au nom de la liberté de dérision et d’exécration.

Le concert de louanges médiatiques adressé à Robin Campillo a encore une fois illustré l’évolution de la revendication du lobby homosexuel selon trois temps. Lobby que ne supportent d’ailleurs pas la plupart des personnes homosexuelles souvent exaspérées d’être ainsi instrumentalisées. 

Le premier temps fut la revendication du droit à la différence. 

Le deuxième fut celui la revendication du droit à l’égalité, et notamment au mariage et à l’adoption d’enfants ; malgré justement la différence réelle précédemment invoquée. 

Enfin est venu, à l’évidence pour la fraction la plus activiste du lobby, le temps d’une certaine auto-glorification médiatique et culturelle pour leur « orientation sexuelle » et la revendication de leur supériorité. 

De même, aux sommets de certains partis politiques, les questions de non-discrimination peuvent-elles à l’occasion se poser encore pour les homosexuels mais désormais aussi pour les non-homosexuels et les non LGBT…

Le grand prix du festival de Cannes n’aura pas ainsi brillé par une attribution non-conformiste mais par son alignement sur l’orientation culturelle dominante homocratique.

La palme d’or remportée par « The Square » du suédois Ruben Ostlund est, semble-t-il, heureusement plus roborativement dégagée du « politiquement correct ». Cependant, n’est-il pas à nouveau bien pitoyable que le cinéma subventionné et récompensé ne fasse pas surgir les grands films que mériteraient deux grandes causes : 

-        d’une part l’évocation de cent ans, aux cent millions de victimes, de crimes communistes sur le monde ;
-       de l’autre, l’immensité encore d’un islam de la charia, de la dhimmitude et du jihâd car toujours modelé par l’imitation de la théocratie totalitaire de son prophète qui ne distinguait pas entre Dieu et César.