Je m'accorde en ce moment, et jusqu'à lundi, un de ces pèlerinages de méditation historique et littéraire que j'affectionne une ou deux fois l'an, en voyageant durant quelques jours dans ma bibliothèque, comme Xavier de Maistre, écrivain trop oublié, voyageait autour de sa chambre.
J'ai en effet pesé hier que je n'avais plus grand chose à ajouter à ce que j'ai exprimé sur les élections présidentielles au cours de ces derniers mois.
Et pour l'heure, je n'en regrette vraiment rien !