Quand on connaît l’histoire de l’Algérie musulmane avec les
atrocités génocidaires de la conquête islamo-arabe face à l’héroïcité de la
longue résistance berbéro-kabyle menée par la Kahina, quand on a un peu étudié
ce que fut la colonisation ottomane et barbaresque avec son immense système de
piraterie et d’esclavagisme, avec ses bagnes et le raffinement de ses
supplices, avec ses chiourmes et ses harems, avec sa population de miséreux, on
est saisi de colère contre ce Macron qui voudrait diriger la France et qui, en
abject lèche-babouche et larbin d’Houria Bouteldja, a osé qualifier dans un
amas d’insanités la colonisation française de « crime contre l’humanité ».
Atroce piétinement perpétré par ce minus humain mais
macro-négationniste de la vérité historique due aux centaines de milliers de
victimes massacrées et souvent torturées dans les plus atroces tourments tout
simplement parce que français et souvent engagés dans la lutte pour notre patrie.
Comment ce méprisable Macron-là a-t-il pu à ce point
injurier la mémoire des milliers de jeunes filles et femmes enlevées en 1962
vers les plus atroces destinations par la soldatesque du maquereau Bouteflika ?
Et celle de nos compatriotes, chrétiens, juifs ou musulmans, horriblement
assassinés ; et celle des 150 000 harkis martyrisés, brûlés vifs ou
enterrés vivants, tenaillés, énucléés, émasculés ?
Le fait qu’il soit globalement ignare de notre histoire
française en particulier et de l’européenne
en général – ne parlons pas des autres ! – le fait qu’il ait osé
proférer la monstruosité selon laquelle il n’y avait pas de culture française,
ne sauraient faire croire tout de même qu’il ignore absolument tout de la
réalité de la présence de la France en Algérie. Il a choisi d’aller à Alger
pour cracher sur cette présence. Il a ainsi non seulement rejoint dans l’ignominie
des aplatissements mémoriels nombre de nos dirigeants et politiciens, mais encore il s’est
efforcé des les dépasser et ainsi il s’est érigé lui-même en parfait
négationniste de crimes contre l’humanité.