- Ignominie de la Fracasserie !
Appels téléphoniques et courriels
se succèdent depuis mon communiqué d’hier sur le révoltant arrêt de la Cour de
Metz infirmant le jugement du tribunal et en faveur du FRAC de Lorraine (voir ci-dessous). Tous nous demandent de ne pas nous décourager, Jérôme Triomphe et moi, de
continuer le combat.
Je veux les rassurer. Je ne dis
pas que c’est facile, qu’à la nouvelle de pareille iniquité – et qui coûte fort
cher ! – on n’éprouve pas en effet un moment de lassitude. Mais ce qui
nous envahit aussitôt, c’est un sentiment de révolte stimulatrice.
Parmi d’autres encouragements,
est venu celui d’Emmanuel D., de Versailles, si amical exprimant aussi son
indignation ironique à l’égard du pitoyable et si lâche confiscateur de
Radio-Courtoisie osant proférer, parmi ses dizaines d’outrances, mensonges et
inepties, que l’AGRIF serait en connivence avec les ligues de l’idéologie
appelée « antiracisme » et les puissances du système judiciaire !
Mais ce n’est pas tant contre le
misérable provocateur Lesquen, pain bénit pour nos ennemis, que j’en ai, mais
plutôt envers certains qui, impitoyables à son endroit dans leurs propos
privés, ne sont pas capables de lui signifier combien il est odieux de priver de
micro notamment le président de l’AGRIF et toute son équipe de l’émission de la
réplique, qui était si écoutée depuis plusieurs années.
Cela pour avoir été simplement un
des dix signataires lui demandant de ne pas discréditer Radio-Courtoisie avec
son inénarrable candidature à la présidence de la République et son programme
dément.
Au fait, où en est-elle, cette
candidature, depuis qu’il a osé, en annonçant son inéluctable victoire, faire
circuler sa photo à côté de celle de Donald Trump ? Si le ridicule tuait…
Mais même privés du micro de
Radio-Courtoisie, encore une fois, rassurez-vous, chers lecteurs de ce blog et
amis de l’AGRIF, nous ne nous coucherons pas devant de pareils encouragements
judiciaires à la perversion de l’Infamille. L’histoire de nos tribunaux
retiendra l’arrêt de la Cour d’appel de Metz.
Hier, songeant à cela, en
rentrant de Paris, je regardais avec Élisabeth les dernières photos autour de
la crèche, de nos si souriants dix-sept petits-enfants.
Car c’est pour eux, comme pour
les vôtres, comme pour tous les petits enfants de France qu’avec l’AGRIF
notamment, nous nous battons, comme nous luttons, depuis bien longtemps avec le
Centre Charlier et Chrétienté-Solidarité, pépinières du journal Présent, du
pèlerinage de Chartres, des grandes initiatives de soutien aux peuples en lutte
contre le communisme ou la théocratie totalitaire islamique.
Et tant pis si certains ont
oublié cela. L’important n’est-il pas de continuer à transmettre le chant :
« Les bleus sont là… Nous n’avons qu’un
honneur au monde… » ?
Oui, il est vrai, du moins
souvent vrai, que « tout ce qui ne tue pas renforce » !
L’ignominie de Metz, en tous cas,
ne fait que me renforcer dans mes convictions et résolutions, tant que j’en
aurai la force, de résister au néo-totalitarisme du nihilisme et du racisme
antifrançais, antichrétien et antihumain dissimulé sous l’idéologie de l’antiracisme.
Je donnerai si Dieu le veut, dès
la semaine prochaine, des informations sur nos projets militants pour cette
année. En attendant, je souhaite une bonne « marche pour la vie » à
tous les participants, ce dimanche, parmi lesquels seront très nombreux les
adhérents de l’AGRIF et les militants de Chrétienté-Solidarité.
(1)
Evidemment,
nous, nous n’avons pas porté plainte contre monsieur de Lesquen pour la teneur
idéologique de ses propos, que leur boursouflure caricaturant toutes nos valeurs
suffit à condamner en soi.
Et d’ailleurs, comme l’a observé l’un
des grands patrons d’émission exclus, assistant à son dernier procès, il y a
été clairement demandé par un magistrat de « surtout le laisser parler,
tellement il sert la cause d’organisations qu’il prétend combattre ». Ce
qui ne laisse d’ailleurs pas d’être curieux…
Nous, avec Maître Jérôme Triomphe, nous nous sommes résolus à
l’assigner en justice pour ses injures et
diffamations caractérisées réitérées qualifiant l’AGRIF d’escroquerie et son
président d’être un « escroc », un « traître », et autres
qualificatifs de même tabac. Car devant les énormités et les mensonges que,
privé de micro, l’on ne peut combattre à armes égales, il y a, en désespoir de
cause, le recours à la plainte devant la juridiction compétente. Ô bien sûr, sans
illusion sur un traitement rapide du dossier mais sans pessimisme car on n’est
pas là dans le cas d’un affrontement de nature idéologique mais plutôt d’agressions
radio-diffusées perpétrées sans l’honneur de risquer quelque répartie à armes
égales.
- Merci François !
Parce que catholiques et dans la
pratique de l’obéissance catholique qui ne requiert ni inconditionnalité ni
servilité, nous sommes quelquefois obligés, très attristés, d’exprimer notre
désapprobation à l’égard de certains actes et propos du pape François. Avec toute
notre liberté et notre souci de la vérité. À un autre niveau hiérarchique et
sur d’autres plans, plus théologiques, d’éminents cardinaux ont exprimé aussi
leurs observations douloureuses. Mais voici que clairement, fortement, François
dans son heureuse et immuable ligne de condamnation de la banalisation
institutionnelle de l’IVG vient d’encourager la marche pour la Vie. N’y
aura-t-il donc pas, en France, jadis « Fille aînée de l’Église », un
candidat à la magistrature suprême de la République pour se prononcer
clairement pour la défense du respect de la vie innocente ?
Bien sûr, dans la charité pour
les personnes !
Car, n’en déplaise à Marine Le
Pen, le débat sur l’inouï tabou de l’IVG, cela ne relève pas de la « chikaya » mais
tout simplement du choix pour une civilisation du respect de la vie ou pour la
barbarie de la culture de mort.
- L’indécent matraquage anti-Trump.
Si ce n’était que je vis dans un
paisible village du Tarn, ce matin, après m’être astreint à écouter et analyser
le journal « de 7 à 9 h » sur France-Inter de l’anarcho-nihiliste
Patrick Cohen, j’aurais été enclin à sortir dans la rue en brandissant un
drapeau américain et en scandant « vive Donald Trump ! ». Car le
camarade Cohen et son équipe se sont employés à monter une émission avec la
succession de la phase de dérision la plus bétasse de la pétasse Charline Van
Hoenecker suscitant leurs rires et gloussements, puis des analyses fielleuses d’une
experte en politologie américaine n’arrivant pas à contenir ses écoulements de
haine, et encore l’inévitable géopoliticien Bernard Guéta, ( trotskyste un
jour – trotskyste toujours !), assénant avec une superbe assurance des
jugements péremptoires dont il est plaisant, si l’on a un peu de mémoire, de
voir ensuite combien, presque toujours, ils ne s’avèrent pas à l’épreuve des
faits.
Est venu ensuite distiller avec
componction son délicat effarouchement de diplomate anti-trumpiste l’ancien
ambassadeur aux États-Unis, François Bujon de Lestang.
Mais l’émission de Cohen comportant quelques
questions d’auditeurs, l’un d’eux, échappant au filtrage, a pu manifester son
étonnement de ce que l’émission était entièrement « anti-Trump ». Par
son aristocratique Excellence l'ambassadeur et par Cohen, il a été répondu en substance à cet
évident débile que c’était parce qu’il n’y avait pas en France « d’intellectuels »
(sic !) à défendre Trump. Té pardi !
Comme quoi, on n’est pas encore
sorti de l’ère de monopolisation de l’intellectuel qui ne saurait être que de
gauche...
God bless America !