vendredi 20 janvier 2017

Ne pas subir, ne pas mollir !





  •       Ignominie de la Fracasserie !

Appels téléphoniques et courriels se succèdent depuis mon communiqué d’hier sur le révoltant arrêt de la Cour de Metz infirmant le jugement du tribunal et en faveur du FRAC de Lorraine (voir ci-dessous). Tous nous demandent de ne pas nous décourager, Jérôme Triomphe et moi, de continuer le combat.

Je veux les rassurer. Je ne dis pas que c’est facile, qu’à la nouvelle de pareille iniquité – et qui coûte fort cher ! – on n’éprouve pas en effet un moment de lassitude. Mais ce qui nous envahit aussitôt, c’est un sentiment de révolte stimulatrice.

Parmi d’autres encouragements, est venu celui d’Emmanuel D., de Versailles, si amical exprimant aussi son indignation ironique à l’égard du pitoyable et si lâche confiscateur de Radio-Courtoisie osant proférer, parmi ses dizaines d’outrances, mensonges et inepties, que l’AGRIF serait en connivence avec les ligues de l’idéologie appelée « antiracisme » et les puissances du système judiciaire !

Mais ce n’est pas tant contre le misérable provocateur Lesquen, pain bénit pour nos ennemis, que j’en ai, mais plutôt envers certains qui, impitoyables à son endroit dans leurs propos privés, ne sont pas capables de lui signifier combien il est odieux de priver de micro notamment le président de l’AGRIF et toute son équipe de l’émission de la réplique, qui était si écoutée depuis plusieurs années. 

Cela pour avoir été simplement un des dix signataires lui demandant de ne pas discréditer Radio-Courtoisie avec son inénarrable candidature à la présidence de la République et son programme dément.

Au fait, où en est-elle, cette candidature, depuis qu’il a osé, en annonçant son inéluctable victoire, faire circuler sa photo à côté de celle de Donald Trump ? Si le ridicule tuait…

Mais même privés du micro de Radio-Courtoisie, encore une fois, rassurez-vous, chers lecteurs de ce blog et amis de l’AGRIF, nous ne nous coucherons pas devant de pareils encouragements judiciaires à la perversion de l’Infamille. L’histoire de nos tribunaux retiendra l’arrêt de la Cour d’appel de Metz. 

Hier, songeant à cela, en rentrant de Paris, je regardais avec Élisabeth les dernières photos autour de la crèche, de nos si souriants dix-sept petits-enfants. 

Car c’est pour eux, comme pour les vôtres, comme pour tous les petits enfants de France qu’avec l’AGRIF notamment, nous nous battons, comme nous luttons, depuis bien longtemps avec le Centre Charlier et Chrétienté-Solidarité, pépinières du journal Présent, du pèlerinage de Chartres, des grandes initiatives de soutien aux peuples en lutte contre le communisme ou la théocratie totalitaire islamique.

Et tant pis si certains ont oublié cela. L’important n’est-il pas de continuer à transmettre le chant : « Les bleus sont là… Nous n’avons qu’un honneur au monde… » ?

Oui, il est vrai, du moins souvent vrai, que « tout ce qui ne tue pas renforce » ! 

L’ignominie de Metz, en tous cas, ne fait que me renforcer dans mes convictions et résolutions, tant que j’en aurai la force, de résister au néo-totalitarisme du nihilisme et du racisme antifrançais, antichrétien et antihumain  dissimulé sous l’idéologie de l’antiracisme. 

Je donnerai si Dieu le veut, dès la semaine prochaine, des informations sur nos projets militants pour cette année. En attendant, je souhaite une bonne « marche pour la vie » à tous les participants, ce dimanche, parmi lesquels seront très nombreux les adhérents de l’AGRIF et les militants de Chrétienté-Solidarité.

(1) Evidemment, nous, nous n’avons pas porté plainte contre monsieur de Lesquen pour la teneur idéologique de ses propos, que leur boursouflure caricaturant toutes nos valeurs suffit à condamner en soi. 

Et d’ailleurs, comme l’a observé l’un des grands patrons d’émission exclus, assistant à son dernier procès, il y a été clairement demandé par un magistrat de « surtout le laisser parler, tellement il sert la cause d’organisations qu’il prétend combattre ». Ce qui ne laisse d’ailleurs pas d’être curieux… 

Nous, avec Maître Jérôme Triomphe, nous nous sommes résolus à l’assigner en justice pour ses injures et diffamations caractérisées réitérées qualifiant l’AGRIF d’escroquerie et son président d’être un « escroc », un « traître », et autres qualificatifs de même tabac. Car devant les énormités et les mensonges que, privé de micro, l’on ne peut combattre à armes égales, il y a, en désespoir de cause, le recours à la plainte devant la juridiction compétente. Ô bien sûr, sans illusion sur un traitement rapide du dossier mais sans pessimisme car on n’est pas là dans le cas d’un affrontement de nature idéologique mais plutôt d’agressions radio-diffusées perpétrées sans l’honneur de risquer quelque répartie à armes égales.



  •        Merci François !

Parce que catholiques et dans la pratique de l’obéissance catholique qui ne requiert ni inconditionnalité ni servilité, nous sommes quelquefois obligés, très attristés, d’exprimer notre désapprobation à l’égard de certains actes et propos du pape François. Avec toute notre liberté et notre souci de la vérité. À un autre niveau hiérarchique et sur d’autres plans, plus théologiques, d’éminents cardinaux ont exprimé aussi leurs observations douloureuses. Mais voici que clairement, fortement, François dans son heureuse et immuable ligne de condamnation de la banalisation institutionnelle de l’IVG vient d’encourager la marche pour la Vie. N’y aura-t-il donc pas, en France, jadis « Fille aînée de l’Église », un candidat à la magistrature suprême de la République pour se prononcer clairement pour la défense du respect de la vie innocente ? 

Bien sûr, dans la charité pour les personnes ! 

Car, n’en déplaise à Marine Le Pen, le débat sur l’inouï tabou de l’IVG, cela ne relève pas de la « chikaya » mais tout simplement du choix pour une civilisation du respect de la vie ou pour la barbarie de la culture de mort.

 

  •      L’indécent matraquage anti-Trump.

Si ce n’était que je vis dans un paisible village du Tarn, ce matin, après m’être astreint à écouter et analyser le journal « de 7 à 9 h » sur France-Inter de l’anarcho-nihiliste Patrick Cohen, j’aurais été enclin à sortir dans la rue en brandissant un drapeau américain et en scandant « vive Donald Trump ! ». Car le camarade Cohen et son équipe se sont employés à monter une émission avec la succession de la phase de dérision la plus bétasse de la pétasse Charline Van Hoenecker suscitant leurs rires et gloussements, puis des analyses fielleuses d’une experte en politologie américaine n’arrivant pas à contenir ses écoulements de haine, et encore l’inévitable géopoliticien Bernard Guéta, ( trotskyste un jour – trotskyste toujours !), assénant avec une superbe assurance des jugements péremptoires dont il est plaisant, si l’on a un peu de mémoire, de voir ensuite combien, presque toujours, ils ne s’avèrent pas à l’épreuve des faits. 

Est venu ensuite distiller avec componction son délicat effarouchement de diplomate anti-trumpiste l’ancien ambassadeur aux États-Unis, François Bujon de Lestang.

Mais  l’émission de Cohen comportant quelques questions d’auditeurs, l’un d’eux, échappant au filtrage, a pu manifester son étonnement de ce que l’émission était entièrement « anti-Trump ». Par son aristocratique Excellence l'ambassadeur et par Cohen, il a été répondu en substance à cet évident débile que c’était parce qu’il n’y avait pas en France « d’intellectuels » (sic !) à défendre Trump. Té pardi ! 

Comme quoi, on n’est pas encore sorti de l’ère de monopolisation de l’intellectuel qui ne saurait être que de gauche...

God bless America !