jeudi 1 décembre 2016

Abomination totalitaire socialiste : le soi-disant délit d’entrave numérique à l’avortement !





Les porte-parole et soutiens du gouvernement socialiste sur ce seul point où ils réalisent leur unité usent du procédé habituel des dictateurs totalitaires, nazis, communistes ou islamiques : ils osent marteler sur tous les médias que ce n’est pas l’information qu’ils veulent museler mais les « fausses informations » qu’ils veulent interdire !
On est vraiment là dans une cynique tartufferie d’État, on est vraiment dans le règne du « Big Brother » célèbre du roman « 1984 » de Georges Orwell. Car c’est exactement du contraire qu’il s’agit !
Ce sont en effet les prosélytes de l’avortement sans limite, désormais érigé en un intouchable tabou, en valeur fondamentale de « civilisation », qui font massivement dégouliner leur désinformation.
Leur première abomination consiste en l’interdiction de l’information fondamentale du fait que l’IVG est plus exactement une IVV : interruption volontaire de vie.
 Selon le moment dans la grossesse de son exécution, l’IVV consiste en l’élimination d’un embryon ou ensuite d’un fœtus, et enfin d’un bébé : dans tous ces cas, l’information vraie est qu’il s’agit de la suppression d’un être humain en développement.
Voilà la réalité, voilà la vérité irréfutable que nul ne saurait nier avant tout débat sur les applications légales de l’avortement.
Ce que veulent en fait interdire les fanatiques abortophiles Laurence Rossignol et Marisol Touraine ou encore Bruno Le Roux, le président du groupe parlementaire socialiste, c’est la possibilité d’un temps de réflexion, d’une recherche de conseil pour la femme en détresse ne se résolvant pas sans hésitation à supprimer l’être qu’elle a conçu avec son mari, son amant ou son « partenaire ». Pour ces ministres et politiciens, toute IVV est une victoire idéologique.
Il s’agit là de quelque chose de fascinant : pour la première fois dans l’histoire de l’humanité on veut imposer une interdiction étatique d’écoute d’arguments plaidant le laisser-vivre pour un être humain en développement.
On mesure aujourd’hui l’étendue du mensonge d’État.
Hier, la loi Giscard-Chirac-Veil de 1975 fut présentée lors de sa promulgation comme un texte motivé par la recherche d’un moindre mal. En fait, elle consista aussitôt en un appui à la banalisation de l’avortement. Aujourd’hui l’avortement est devenu le tabou des tabous.
On mesure ainsi combien le combat pour la défense de la vie innocente est simultanément un combat pour la vérité et pour la liberté.
C’est le combat pour une civilisation de la vie dont il s’agit, face à la barbarie triomphante de la culture de mort, la barbarie nihiliste du racisme antihumain.