Oui,
contre la dictature idéologique et médiatique, liberté de pouvoir penser,
exprimer et rappeler l’évidence que l’avortement c’est tout de même, avant
tout, irréfutablement une interruption volontaire de vie !
Oui,
liberté de pouvoir penser et exprimer que si certains justifient cette
interruption en invoquant le droit pour la femme de faire ce qu’elle veut de
son corps, c’est en réalité du droit de faire ce qu’elle veut du corps qu’elle
porte mais qui n’est pas le sien, qu’il s’agit.
Oui,
liberté de pouvoir faire observer que c’est une drôle d’émancipation pour la
femme que d’émanciper son enfant de son droit de naître, premier des droits de
l’homme.
Oui,
liberté de penser et d’exprimer que l’interruption volontaire de vie n’est tout
de même pas une valeur suprême de civilisation.
Oui,
liberté de pouvoir penser que tout devrait être mis en œuvre, politiquement,
législativement et socialement pour épargner à des femmes en détresse le
terrible choix de tuer l’être qui vit en leur sein. Car celui-ci n’est pas un
fétu de paille mais un merveilleux fœtus de personne humaine qu’il est pour le
moins barbare de priver de son droit de naître.
Oui,
liberté de penser et d’exprimer que les vitupérations, la haine, les lynchages
politiques et médiatiques contre ceux qui pensent que l’accueil de la vie vaut
mieux que la peine de mort pour l’enfant à naître, c’est une abominable
régression totalitaire !
Oui,
liberté de notre anarchisme vis-à-vis de sa dictature, de ne pas nous soumettre,
de ne pas respecter ce plus grand des tabous qu’est aujourd’hui l’allégeance
obligatoire à la religion de la bienfaisance de l’avortement.
Liberté
au moins de ne pas idolâtrer le moderne Baal-Moloch dévoreur des enfants à
naître.
Alors,
dites non au grand tabou, dites non à son idolâtrie obligatoire.
Dites
oui à la vie.
Rejoignez
les rangs du Pays Libre !
Bernard Antony