Nous apprenons par une dépêche de l’agence Reuters que le
président hongrois Viktor Orban avait déclaré aujourd’hui qu’il y avait un
« lien évident » entre
l’immigration illégale en Europe et les attentats terroristes, et d’ajouter que
« si quelqu’un nie l’existence de
ces liens alors, dans les faits, cette personne nuit à la sécurité des citoyens
européens ». Ce constat d’évidence, par un homme d’Etat patriote et
courageux qui vient de lancer une campagne publique opposée à l’immigration,
dans la perspective du référendum sur la répartition des clandestins dans
l’Union Européenne prévu dans son pays en septembre, rappelle cruellement
l’aveuglement criminel, joint à l’incompétence affligeante et trop souvent à
l’idéologie de collaboration, de nos dirigeants. Depuis janvier 2015, les
attentats qui, sur notre sol, ont fait plus de 200 morts, sans parler de ceux
qui ont frappé la Belgique, l’Allemagne, sont TOUS en lien avec la tsunamigration qui submerge l’Europe, en
partie largement favorisée par l’Etat islamique et ses complices, hier en
Syrie, aujoud’hui en Libye livrée au chaos, demain peut-être dans d’autres pays
particulièrement fragilisés.
L’on pourra vérifier par ailleurs que le chimérique
« vivre-ensemble », grotesque village Potemkine d’une société où les
communautés non-assimilées laissent prospérer en leur sein la haine des
Français et de la France, a encore prouvé sa pertinence : via
Fdesouche.com, l’on découvre que, depuis le massacre barbare de Nice, le 14
juillet, douze personnes ont été arrêtées et jugées en comparution immédiate
pour « menaces et apologie du
terrorisme » (MétroNews). Les hôpitaux psychiatriques de Nice ne
faisant visiblement pas « journée
porte ouverte », l’on se demande, stupéfaits, d’où sortent tous ces
déséquilibrés. Danseurs de salsa divorcés dépressifs, sans doute… France 3 Côte
d’Azur rapporte en outre que, pour les imams des Alpes Maritimes, « cet attentat n’a ni religion ni couleur de
peau ». Ah, les représentants du culte musulman, toujours si prompts à
dénoncer la moindre égratignure sur l’orteil d’un membre de l’oumma, toujours
si prompts à se défausser de la manière la plus lâche et malhonnête quand un
membre de la même oumma commet, au nom de l’islam, un acte abject. Le
vice-président de la Conférence des imams de France, Hocine Drouiche, a
présenté sa démission le lendemain de l’attentat de Nice pour protester contre
ces institutions musulmanes « qui ne
font rien pour assurer la paix
sociale et ne cessent de répéter que l’extrémisme n’existe pas ». Il
est malheureusement bien trop seul.
Pierre Henri