jeudi 21 juillet 2016

Du bon sens de Viktor Orban et du « vivre-ensemble » suicidaire


Nous apprenons par une dépêche de l’agence Reuters que le président hongrois Viktor Orban avait déclaré aujourd’hui qu’il y avait un « lien évident » entre l’immigration illégale en Europe et les attentats terroristes, et d’ajouter que « si quelqu’un nie l’existence de ces liens alors, dans les faits, cette personne nuit à la sécurité des citoyens européens ». Ce constat d’évidence, par un homme d’Etat patriote et courageux qui vient de lancer une campagne publique opposée à l’immigration, dans la perspective du référendum sur la répartition des clandestins dans l’Union Européenne prévu dans son pays en septembre, rappelle cruellement l’aveuglement criminel, joint à l’incompétence affligeante et trop souvent à l’idéologie de collaboration, de nos dirigeants. Depuis janvier 2015, les attentats qui, sur notre sol, ont fait plus de 200 morts, sans parler de ceux qui ont frappé la Belgique, l’Allemagne, sont TOUS en lien avec la tsunamigration qui submerge l’Europe, en partie largement favorisée par l’Etat islamique et ses complices, hier en Syrie, aujoud’hui en Libye livrée au chaos, demain peut-être dans d’autres pays particulièrement fragilisés.

L’on pourra vérifier par ailleurs que le chimérique « vivre-ensemble », grotesque village Potemkine d’une société où les communautés non-assimilées laissent prospérer en leur sein la haine des Français et de la France, a encore prouvé sa pertinence : via Fdesouche.com, l’on découvre que, depuis le massacre barbare de Nice, le 14 juillet, douze personnes ont été arrêtées et jugées en comparution immédiate pour « menaces et apologie du terrorisme » (MétroNews). Les hôpitaux psychiatriques de Nice ne faisant visiblement pas « journée porte ouverte », l’on se demande, stupéfaits, d’où sortent tous ces déséquilibrés. Danseurs de salsa divorcés dépressifs, sans doute… France 3 Côte d’Azur rapporte en outre que, pour les imams des Alpes Maritimes, « cet attentat n’a ni religion ni couleur de peau ». Ah, les représentants du culte musulman, toujours si prompts à dénoncer la moindre égratignure sur l’orteil d’un membre de l’oumma, toujours si prompts à se défausser de la manière la plus lâche et malhonnête quand un membre de la même oumma commet, au nom de l’islam, un acte abject. Le vice-président de la Conférence des imams de France, Hocine Drouiche, a présenté sa démission le lendemain de l’attentat de Nice pour protester contre ces institutions musulmanes « qui ne font rien pour assurer la paix sociale et ne cessent de répéter que l’extrémisme n’existe pas ». Il est malheureusement bien trop seul.

            Pierre Henri