Après les égorgements
islamistes en l’église de Saint-Etienne-du-Rouvray, à Cracovie, le pape
François a déclaré que le monde était en guerre mais que ce n’était pas une
guerre de religion.
Ce propos est contestable.
D’une part, tous les terroristes
islamistes sont musulmans et tuent au nom de l’islam, pour le moins donc en
raison de leur religion. Pour eux le fait est qu’il s’agit bien d’une guerre de
religion, puisqu’ils la mènent dans toute l’ampleur de leur barbarie, même si
certains pasteurs des chrétiens le nient. Donc, si ce que nous voyons n’est pas
une guerre de religion, tout de même, ça y ressemble !
Certes on peut évoquer,
comme l’écrit l’illustre intellectuel musulman Tariq Ramadan que « l’islam entre difficilement dans les limites
du mot religion ». Son frère Hani motive cela rappelant : « L’islam touche tout autant l’espace public
que la sphère privée (…) Il est religion et État, foi et loi, doctrine et mode
de vie ; il comprend dans son système les principes d’un gouvernement et
aussi des prescriptions de guerre, appelant les croyants au combat pour
défendre leurs droits ».
Mais François se garde de
faire observer que... Lire la suite : http://www.lagrif.fr/communiques/actualites/572-desolants-denis-de-realite-du-pape-francois