lundi 27 juin 2016

Contre le vote du Royaume-Uni qu’il faut punir, la furie terroriste du fanatisme eurocratique.



Qui ne le voit, à peine l’électorat du Royaume-Uni s’est-il très majoritairement, démocratiquement prononcé pour un retour à sa souveraineté, que tout est mis en œuvre à Bruxelles et à Francfort, à Berlin et à Paris pour le châtier. Avec toutes les grosses ficelles de la désinformation médiatique.
On s’y emploie à susciter toutes les embûches possibles pour empêcher une paisible transition. Il faut en effet terroriser les autres peuples qui veulent aussi se libérer du carcan euro-fédéraliste. C’est d’ailleurs une fréquente caractéristique de l’histoire contemporaine que la répression par les édifices super-étatiques dits fédéraux des nations constitutives voulant retrouver leur liberté et leur souveraineté.
Le fédéralisme invoqué n’est nullement celui permettant au sein d’une nation les décentralisations souhaitables. Il est l’idéologie de soumission des peuples et de leurs États dans un plus vaste ensemble coercitif et, comme aujourd’hui l’Union Européenne, souvent de plus en plus totalitaire.
Car il s’agit non pas de répondre au bien commun des peuples mais de progresser coûte que coûte dans la réalisation de l’utopie constructiviste d’une république universelle rêvée par les sectes socialistes et autres.
Les dirigeants et fonctionnaires de l’Union Européenne, fanatiquement bruxello-centralisateurs, toujours plus avides d’imposer le carcan fédéral eurocratique, sont dans les mêmes perspectives idéologiques que les Jacobins de la Convention en 1793 menant la Terreur contre toutes les populations, vendéennes et autres, voulant préserver leurs libertés et leurs traditions.
Il en fut de même au temps de l’Union Soviétique et l’État fédéral russe aujourd’hui n’est pas moins centralisateur.  Il en était de même avec l’État fédéral yougoslave si soutenu par les eurocrates, Jacques Delors en tête.
Il y a bien longtemps, à Rome, Caton le censeur ne cessait de réclamer : « Il faut que Carthage soit détruite ! ».
Aujourd’hui, les eurocrates fanatiques n’hésiteront pas à employer tous les moyens pour châtier l’orgueilleux peuple britannique. Il faut donc pour eux que la Grande-Bretagne libre soit détruite. Mais c’est une chose que de le souhaiter, une autre que d’y arriver.