L' Institut
du Pays Libre communique:
Sous le prétexte de la liberté de
création toute une cinématocratie ploutocratique entend faire prévaloir le
droit de produire et d’exploiter un étalage sans limite de spectacles de
violence et de pornographie désormais visibles de fait par des enfants car
programmés fort peu tard dans la soirée sur quantité de chaînes.
Et voilà qu’au même moment les
gouvernants européens, à Rome comme à Genève, mûs par une abjecte complaisance
d’auto-soumission au puritanisme islamique, font voiler les statues de
l’antiquité ou retirer des tableaux montrant, ô quelle offense à la morale, la
nudité des belles déesses de la mythologie ou des dieux du stade.
On est là devant l’affligeante
réalité de deux aspects contradictoires d’une même décadence :
-
d’une part celle de la porno-ploutocrassie
-
de l’autre celle de l’entrée complaisante et masochiste dans
la dhimmitude.
L’Institut du Pays Libre salue la
victoire judicaire de l’association Promouvoir contre l’ignoble film de haine
pornocratique antichrétienne « Antichrist ».
Il appelle simultanément tous les
citoyens de toutes les nations européennes à ne plus tolérer les diktats du
puritanisme islamique avec ses sommets d’hypocrisie et dont on sait la réalité
atroce qu’il a pu recouvrir et recouvre toujours avec ses harems et ses
différentes turpitudes esclavagistes.
La nudité des corps dans les
sculptures et statues de l’antiquité européenne ou encore dans les différentes
écoles d’art de notre civilisation n’offense qu’une pudibonderie qui est le
contraire de la véritable pudeur.
La barbarie puritaine islamique
commence par exiger de voiler la beauté des pudiques nudités jamais obscènes de
la plupart des grandes œuvres grecques et romaines. Elle en vient ensuite à la
destruction des sites comme Palmyre.
Nous refusons l’indécence
véritablement obscène de ses interdits.
Bernard Antony.