lundi 18 mai 2015

Mixite sexuelle desastreuse et mixite sociale impossible



La mixité désastreuse c’est en effet celle qu’a imposée dans tous les niveaux d’enseignement notre système d’éducation dite « nationale ». On vient d’en constater un des effets pervers au lycée Montaigne à Paris où des gamins de sixième ont fait subir aux petites filles de leurs classes les turpitudes qu’ils regardent sur les vidéos « pornos » de leurs mobiles. Or, de l’avis général de nos responsables de l’AGRIF, cela n’est hélas pas un fait isolé à en croire bien des témoignages apportés par plusieurs étudiantes et étudiants.
La suppression de la mixité dans les classes de la septième à la première est une mesure qui devrait s’imposer dans la reconstruction de l’école. Ce serait une bonne chose pour la psychologie des garçons souvent obsédés, à ces âges, par leur évolution sexuelle et souvent complexés en raison de leur fréquent retard scolaire par rapport aux filles.
Ce serait surtout une bonne chose pour la tranquillité des filles dont la plupart en ont assez d’être importunées voire de plus en plus souvent menacées de viols.

La mixité sociale, selon « Le Figaro » de ce jour, c’est celle qu’ont exigé le 13 mai une cinquantaine de mères enfoulardées en colère à Montpellier et manifestant parce que « il n’y a quasiment plus d’enfants de Blancs » (sic) dans les écoles de La Paillade et autres quartiers à forte proportion de populations d’origines étrangères. « Comment nos enfants vont pouvoir se sentir Français ? » a demandé Fouzia, la porte-parole de ces mères.
L’article de Caroline Beyer est tout à fait intéressant. Elle n’omet pas de mentionner le cas de cette « maman non maghrébine, qui, venue inscrire ses enfants à l’école du quartier, n’est plus reparue ».
Peut-être va-t-il falloir alors imposer des quotas d’enfants « blancs » dans ces écoles pour espérer intégrer la majorité des non-blancs et les faire « se sentir français » ?

Faut-il faire remarquer ici que la référence à la race est une absurdité La vérité c’est qu’il ne s’agit pas du tout d’une question de « blancs » ou de « non blancs ». La vérité, qui oserait le nier, c’est qu’il s’agit d’une question d’enfants non musulmans, parmi une énorme majorité d’enfants musulmans ! Et pour ces enfants non musulmans si minoritaires, qui oserait affirmer que leur scolarité se déroulera sans lourdes difficultés relationnelles ?

Ainsi on me rapporte le cas, à Castres des difficultés d’enfants pourtant arabes parmi d’autres enfants arabes. Ces petits enfants arabes, les malheureux, récemment arrivés en France, ont échappé au pire chez eux en Irak. Seulement voilà, ce sont des enfants catholiques. Et c’est ainsi que réfugiés chez nous, ils subissent déjà des insultes et une discrimination de la part des enfants musulmans qui regardent à la maison les émissions d’Al Jezeera.
Ceci est abominable, insupportable. Mais je n’entends guère s’exprimer les repentances de ceux qui, par leur niaiserie, leur bêtise, leur inculture, leur démagogie, sont responsables d’une situation qui va aller de mal en pire.
Oui, tous les « instits » et les profs, les curés et les évêques, les pasteurs, les rabbins, les francs-maçons, les magistrats gauchos et les bobos bolchos, ils sont collectivement responsable d’un criminel déni de réalité : la réalité idéologique et sociale de l’islam expansionniste.
« Halte au communautarisme ! » ne cessent de répéter certaines et certains politiques. Soit. Mais sont-ils bien sûrs que leur fameuse école de la République soit encore apte, en bien des territoires, à intégrer les enfants de « l’Oumma », la grande communauté islamique, dans la minorité non communautaire des pauvres Français de plus en plus déracinés, dépersonnalisés, isolés spirituellement, culturellement et, en certains lieux, démographiquement de plus en plus génocidés ?