La mixité
désastreuse c’est en effet celle qu’a imposée dans tous les niveaux
d’enseignement notre système d’éducation dite « nationale ». On vient
d’en constater un des effets pervers au lycée Montaigne à Paris où des gamins
de sixième ont fait subir aux petites filles de leurs classes les turpitudes
qu’ils regardent sur les vidéos « pornos » de leurs mobiles. Or, de
l’avis général de nos responsables de l’AGRIF, cela n’est hélas pas un fait
isolé à en croire bien des témoignages apportés par plusieurs étudiantes et
étudiants.
La suppression
de la mixité dans les classes de la septième à la première est une mesure qui
devrait s’imposer dans la reconstruction de l’école. Ce serait une bonne chose
pour la psychologie des garçons souvent obsédés, à ces âges, par leur évolution
sexuelle et souvent complexés en raison de leur fréquent retard scolaire par
rapport aux filles.
Ce serait
surtout une bonne chose pour la tranquillité des filles dont la plupart en ont
assez d’être importunées voire de plus en plus souvent menacées de viols.
La mixité sociale,
selon « Le Figaro » de ce jour, c’est celle qu’ont exigé le 13
mai une cinquantaine de mères enfoulardées en colère à Montpellier et
manifestant parce que « il n’y a quasiment plus d’enfants de
Blancs » (sic) dans les écoles de La Paillade et autres quartiers à
forte proportion de populations d’origines étrangères. « Comment nos
enfants vont pouvoir se sentir Français ? » a demandé Fouzia, la
porte-parole de ces mères.
L’article de
Caroline Beyer est tout à fait intéressant. Elle n’omet pas de mentionner le
cas de cette « maman non maghrébine, qui, venue inscrire ses enfants à
l’école du quartier, n’est plus reparue ».
Peut-être
va-t-il falloir alors imposer des quotas d’enfants « blancs » dans
ces écoles pour espérer intégrer la majorité des non-blancs et les faire « se
sentir français » ?
Faut-il faire
remarquer ici que la référence à la race est une absurdité La vérité c’est qu’il
ne s’agit pas du tout d’une question de « blancs » ou de « non
blancs ». La vérité, qui oserait le nier, c’est qu’il s’agit d’une
question d’enfants non musulmans, parmi une énorme majorité d’enfants musulmans !
Et pour ces enfants non musulmans si minoritaires, qui oserait affirmer que
leur scolarité se déroulera sans lourdes difficultés relationnelles ?
Ainsi on me
rapporte le cas, à Castres des difficultés d’enfants pourtant arabes parmi d’autres
enfants arabes. Ces petits enfants arabes, les malheureux, récemment arrivés en
France, ont échappé au pire chez eux en Irak. Seulement voilà, ce sont des
enfants catholiques. Et c’est ainsi que réfugiés chez nous, ils subissent déjà
des insultes et une discrimination de la part des enfants musulmans qui
regardent à la maison les émissions d’Al Jezeera.
Ceci est
abominable, insupportable. Mais je n’entends guère s’exprimer les repentances
de ceux qui, par leur niaiserie, leur bêtise, leur inculture, leur démagogie,
sont responsables d’une situation qui va aller de mal en pire.
Oui, tous les « instits »
et les profs, les curés et les évêques, les pasteurs, les rabbins, les
francs-maçons, les magistrats gauchos et les bobos bolchos, ils sont
collectivement responsable d’un criminel déni de réalité : la réalité
idéologique et sociale de l’islam expansionniste.
« Halte au
communautarisme ! » ne cessent de répéter certaines et certains
politiques. Soit. Mais sont-ils bien sûrs que leur fameuse école de la
République soit encore apte, en bien des territoires, à intégrer les enfants de
« l’Oumma », la grande communauté islamique, dans la minorité non
communautaire des pauvres Français de plus en plus déracinés, dépersonnalisés,
isolés spirituellement, culturellement et, en certains lieux, démographiquement
de plus en plus génocidés ?