Il aura été vraiment un
« triste sire » ! En vérité, la grande erreur du général
Franco, qui nous a sauvé du communisme puis du nazisme, et dont il fallait
certes, sans doute, réformer le régime, sans en détruire, comme l’a fait le
traître Juan Carlos, ce qu’il avait de constitutionnellement positif pour le
bien commun espagnol. Ce « roi » aura honoré et décoré les plus
abominables tortionnaires et sanguinaires des rouges : le fusilleur de
Paracuellos, Santiago Carillo ; l’hystérique stalinienne Dolorès Ibarruri,
la « passionaria rouge » qui fit assassiner l’héroïque député
monarchiste Calvo Sotelo, cette Dolorès, ivre de fureur satanique, qui mordait
dans les cœurs arrachés à ses victimes.
Ce roi au front bas, à la
lippe grossière, aux appétits vulgaires, ce Tartarin grotesque, matador
d’éléphants sans défense, quitte donc la couronne d’ Espagne dont il aura été
un des plus pitoyables souverains. On ne le regrette pas !
Comme il y a d’heureuses
discontinuités dans les successions royales, espérons pour l’Espagne que son
fils a davantage hérité des vertus et qualités de sa patiente mère que de la
médiocrité politique et de la bassesse morale de son père.