lundi 2 juin 2014

13 h : Abdication du roi d’Espagne.


Il aura été vraiment un «  triste sire » ! En vérité, la grande erreur du général Franco, qui nous a sauvé du communisme puis du nazisme, et dont il fallait certes, sans doute, réformer le régime, sans en détruire, comme l’a fait le traître Juan Carlos, ce qu’il avait de constitutionnellement positif pour le bien commun espagnol. Ce « roi » aura honoré et décoré les plus abominables tortionnaires et sanguinaires des rouges : le fusilleur de Paracuellos, Santiago Carillo ; l’hystérique stalinienne Dolorès Ibarruri, la « passionaria rouge » qui fit assassiner l’héroïque député monarchiste Calvo Sotelo, cette Dolorès, ivre de fureur satanique, qui mordait dans les cœurs arrachés à ses victimes.

Ce roi au front bas, à la lippe grossière, aux appétits vulgaires, ce Tartarin grotesque, matador d’éléphants sans défense, quitte donc la couronne d’ Espagne dont il aura été un des plus pitoyables souverains. On ne le regrette pas !

Comme il y a d’heureuses discontinuités dans les successions royales, espérons pour l’Espagne que son fils a davantage hérité des vertus et qualités de sa patiente mère que de la médiocrité politique et de la bassesse morale de son père.