mardi 6 mai 2014

Vérité sur les crimes contre l’humanité de Boko Harem !

L'AGRIF communique :

Au Nigéria, depuis des années, la secte musulmane Boko Harem ne cesse de perpétrer des abominations en tous genres : assassinats, attentats, viols, massacres collectifs, rapts d’otages, de jeunes femmes, jeunes filles et enfants destinées à des « mariages-esclaves ».
Tout cela dans une quasi indifférence généralisée stupéfiante ! Serait-ce parce que les victimes ne seraient que des africaines ? Ou parce que, à l’évidence, cela n’émeut pas beaucoup les autorités musulmanes du pays et des pays voisins ?

Boko Harem, en effet, affirme pratiquer l’imitation du prophète Mahomet telle que l’enseignent les « Hâdiths », les livres, avec le Coran, les plus sacrés de l’islam, fond de commerce de toutes les librairies musulmanes. Les hadiths narrent tous les faits et gestes de la vie du prophète avec notamment les rezzous, les massacres et le butin humain, toutes choses relevant de « la guerre sainte », le jihad, destiné a instaurer la charia : la loi de cette théocratie totalitaire qu’est l’islam.

Mais Boko Harem, qui bénéficie pourtant à l’évidence de grandes complaisances au Nigéria mais aussi de la part des autorités de certains pays africains, ne se soucie même pas d’imiter le prophète dans son instauration de pactes de « trêve » ou d’ « alliance » et surtout de la « dhimmitude », c’est à dire le statut de rang inférieur concédé aux « gens du Livre » (juifs et chrétiens) moyennant leur soumission.

L’horreur de la barbarie esclavagiste de Boko Harem relève sans contestation possible de ce que l’on désigne aujourd’hui comme crimes contre l’humanité. Ces crimes sont en effet perpétrés dans le plus total déni d’humanité de la femme, racistement traitée comme du bétail de Harem.
Mais face à cette abomination on n’entend pas se dresser madame Houria Bouteldja du Parti des Indigènes de la République, ni son conseiller Said Bouamama de « Nique la France » qui dénoncent seulement l’esclavagisme « blanc » de jadis dans le plus total oubli de ce que fut et est encore l’immense esclavagisme musulman.
Car, si on ne voit pas se mobiliser dans la dénonciation de Boko Harem les grandes et richissimes puissances islamiques, et d’abord l’Arabie Saoudite et le Qatar, c’est que l’esclavage y est toujours une réalité.

On n’observe non plus aucun grand frémissement de dénonciation et de mobilisation de l’internationale « antiraciste ». C’est là le côté le plus ignoble de la chose : le sort de petites africaines, surtout si elles sont chrétiennes, n’émeut pas beaucoup les salons de l’intelligentsia progressiste et de l’humanitarisme mondialiste.

Et puis, ne faut-il pas respecter toutes les traditions et coutumes des pays heureusement libérés des affres de la colonisation ?

AGRIF
70, boulevard saint Germain 
75005 Paris
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