L'AGRIF communique :
Au Nigéria, depuis des années, la secte musulmane Boko
Harem ne cesse de perpétrer des abominations en tous genres : assassinats,
attentats, viols, massacres collectifs, rapts d’otages, de jeunes femmes,
jeunes filles et enfants destinées à des « mariages-esclaves ».
Tout cela dans une quasi
indifférence généralisée stupéfiante ! Serait-ce parce que les victimes ne
seraient que des africaines ? Ou parce que, à l’évidence, cela n’émeut pas
beaucoup les autorités musulmanes du pays et des pays voisins ?
Boko Harem, en effet, affirme
pratiquer l’imitation du prophète Mahomet telle que l’enseignent les
« Hâdiths », les livres, avec le Coran, les plus sacrés de l’islam,
fond de commerce de toutes les librairies musulmanes. Les hadiths narrent tous
les faits et gestes de la vie du prophète avec notamment les rezzous, les
massacres et le butin humain, toutes choses relevant de « la guerre
sainte », le jihad, destiné a instaurer la charia : la loi de cette
théocratie totalitaire qu’est l’islam.
Mais Boko Harem, qui bénéficie
pourtant à l’évidence de grandes complaisances au Nigéria mais aussi de la part
des autorités de certains pays africains, ne se soucie même pas d’imiter le prophète
dans son instauration de pactes de « trêve » ou
d’ « alliance » et surtout de la « dhimmitude », c’est
à dire le statut de rang inférieur concédé aux « gens du Livre »
(juifs et chrétiens) moyennant leur soumission.
L’horreur de la barbarie esclavagiste
de Boko Harem relève sans contestation possible de ce que l’on désigne
aujourd’hui comme crimes contre l’humanité. Ces crimes sont en effet perpétrés
dans le plus total déni d’humanité de la femme, racistement traitée comme du
bétail de Harem.
Mais face à cette abomination on
n’entend pas se dresser madame Houria Bouteldja du Parti des Indigènes de la
République, ni son conseiller Said Bouamama de « Nique la France »
qui dénoncent seulement l’esclavagisme « blanc » de jadis dans le
plus total oubli de ce que fut et est encore l’immense esclavagisme musulman.
Car, si on ne voit pas se
mobiliser dans la dénonciation de Boko Harem les grandes et richissimes
puissances islamiques, et d’abord l’Arabie Saoudite et le Qatar, c’est que
l’esclavage y est toujours une réalité.
On n’observe non plus aucun grand
frémissement de dénonciation et de mobilisation de l’internationale
« antiraciste ». C’est là le côté le plus ignoble de la chose :
le sort de petites africaines, surtout si elles sont chrétiennes, n’émeut pas
beaucoup les salons de l’intelligentsia progressiste et de l’humanitarisme
mondialiste.
Et puis, ne faut-il pas respecter
toutes les traditions et coutumes des pays heureusement libérés des affres de
la colonisation ?
AGRIF
70, boulevard saint Germain
75005 Paris