lundi 12 mai 2014

Le docteur Dalil Boubakeur prend les auditeurs pour des imbéciles !

17 h : J’ai écouté ce matin à la radio le docteur Dalil Boubakeur, recteur de la Mosquée de Paris et président du CFCM.

Il a été interrogé sur le long silence des autorités politiques et religieuses de l’islam à propos des effroyables abominations de Boko Haram, qui ne datent pas d’aujourd’hui. Il a répondu avec sa grande habitude des propos lénifiants que tout de même en différents pays des voix musulmanes s’élevaient pour exprimer leur condamnation, même en « Arabie Saoudite » (sic !). On ne l’a pas entendu regretter qu’il n’y ait pas une condamnation solennelle, à portée universelle, de toutes les nations et institutions de l’Oumma. Ce que pourrait pourtant susciter l’Organisation de la coopération Islamique (OCI). 

Par ailleurs, déplorant le fait que de plus en plus de jeunes musulmans en France aillent « faire le jihad », le bon docteur, grand artiste de la taqiya, a resservi sans vergogne le discours du « jihad, pratique spirituelle. Et, a-t-il dit, ce que l’on appelle le jihadisme n’a jamais été le fait de l’islam ».

On se demande comment alors, le film « le Message », sur la vie de Mahomet, le plus vu à ce jour dans l’univers islamique, soit encore vendu dans toutes les librairies musulmanes, sunnites et chiites ? Ce film en effet commence par le message adressé par le prophète de Médine aux deux empereurs chrétiens d’Éthiopie et de Byzance et à l’empereur de Perse (zoroastrien).

« Soumettez-vous à Allah et à son prophète ou nous vous réduirons par la guerre ». Tel est l’ultimatum dont le refus entraînera les immenses jihads conquérants que l’on sait, d’ampleur maintes fois génocidaire comme en Afrique du Nord.


« Le jihadisme, rien à voir avec l’islam ? »Cela, il faut oser le proférer !