Hier, mon texte était certes quelque peu badin sur la
question des repentances . En fait, je voulais éviter de trop vite commenter
des événements internationaux évoluant très vite.
Aujourd’hui,
à Paris, ma journée est consacrée à la préparation puis à la tenue du Conseil
et de l’Assemblée générale annuelle de l’AGRIF et notamment à l’examen
minutieux de nos comptes. Car nous y appliquerons une simple règle
ménagère : veiller autant que possible à ne jamais engager plus de dépenses
que nous ne pouvons en régler !
Je
donnerai demain un bref compte-rendu de ces réunions statutaires. Et je
reviendrai à nos combats et au commentaire de l’actualité.