jeudi 23 janvier 2014

Les dindons de la farce de la « social-démocratie »


Il suffit qu’on leur fasse miroiter un peu moins de charges sur les salaires (aux dépend des allocations familiales !), une promesse d’un peu moins d’impôts et surtout que le Président discoureur et coureur noctambule les assure de sa « social-démocratilité » pour que les gogos d’une bourgeoisie à intelligence d’autruche s’avisent aussitôt de se rassurer puisque leur petite vie personnelle et leur petit confort ne serait finalement pas si en danger que ça.

Mais comment expliquer à ces troupeaux de dindons de la farce électorale social-démocrate que, cependant, ce gouvernement mène radicalement la plus perverse et la plus nihiliste révolution de déracinement de la personne humaine. Ainsi, mesdames Belkacem et Taubira, messieurs Peillon et Valls, sont des idéologues forcenés de ce qu’ils appellent l’« émancipation », c’est-à-dire d’une volonté effrayante, non seulement de faire du passé table rase par leur reconstruction de l’histoire, leur mise à bas de la culture française mais surtout d’éradiquer les réalités du genre humain, de la différenciation sexuelle, de la famille.

Il faut être aveugle ou abruti pour ne pas voir, qu’admirateurs de Robespierre, comme Peillon et son modèle Jaurès (1) ; qu’aussi révolutionnaires, sinon plus, sur l’homme, que Lénine, Trotski ou Mao, qu’aussi avides de faire un homme nouveau comme Pol-Pot, l’exterminateur du Cambodge, ce sont de dangereux frénétiques. 


 (1) comme je le prouve dans mon livre « Jaurès, le mythe et la réalité »