mardi 3 décembre 2013

REFUSER L’ISLAM, CE N’EST PAS HAÏR LES MUSULMANS, C’EST MÊME LE CONTRAIRE !

Bernard ANTONY, président de l’A.G.R.I.F.

communique :



Une énième fois, sur France-Inter ce matin, le conformiste chroniqueur de l’idéologiquement correct sans risque de réplique, Thomas Legrand, a dévidé sa rhétorique d’assimilation du refus de l’islam à de « l’islamo-phobie » raciste.
Une fois encore donc, l’AGRIF à la tête de laquelle sont des Français de toutes origines, toutes races et notamment des maghrébins convertis de l’islam au christianisme, a pour devoir de réagir à cette grossière ficelle dialectique même si sa voix n’est pas relayée dans l’univers de la connivence médiatique du pseudo-antiracisme.
Il faut donc démonter la manipulation propagandiste islamophile de l’utilisation du concept « d’islamo-phobie ».
Le refus de l’islam est en effet tout aussi étranger à du racisme que le refus du nazisme, du communisme ou de tout autre idéologie totalitaire.
Le refus de l’islam, c’est en effet le refus de la théocratie totalitaire qu’il est fondamentalement et qu’il a perfectionné depuis son origine médinoise, celle d’un total englobement sans principe de séparation ni même de distinction de tous les domaines de la vie individuelle et collective ; de la politique, de la religion, de la culture, de l’ordre social et familial, des mœurs et de l’hygiène.
Ce refus, ce n’est pas une phobie ! Cela n’a rien à voir avec un effroi irrationnel relevant de la psychiatrie. C’est un refus de la raison et de la liberté.
- Refuser l’islam, c’est ne pas accepter la charia, la loi fondamentale établie par le Prophète Mahomet à laquelle il faut se soumettre en tous lieux, en tous temps et en toutes choses dès lors que sa domination est établie ; charia d’où procède tous les différents aspects du droit musulman.
               - C’est dire non à la conception et à l’application de l’infériorité de nature de la femme telle que sans cesse affirmée dans le Coran et les Hadiths.
               - Refuser l’islam, c’est dénoncer le principe de la « dhimmitude » régissant les gens du Livre, juifs, chrétiens et zoroastriens comme des sujets plus ou moins tolérés mais dans un statut d’infériorité sinon de persécution. C’est dénoncer le principe et l’application de la peine de mort pour celui qui manifeste son incroyance.
               - Refuser l’islam, c’est ne pas accepter son déni de la liberté religieuse, de la liberté de conversion réciproque, son déni de réciprocité des droits et libertés civiques et religieuses pour les non musulmans en pays de régime islamique avec celles des musulmans en pays non islamisés.
Or, nonobstant les déclarations de certains musulmans dans ces pays, dans aucun de la cinquantaine des pays adhérents de l’OCI (Organisation de la Coopération Islamique), tant chiites que sunnites, ne sont admis les principes d’une égale liberté religieuse et notamment la fin de la persécution à l’égard des musulmans voulant d’une autre foi ou d’une autre vie que celle de l’islam.
Affirmer le droit de connaître, de critiquer et de refuser l’islam, non seulement ce n’est pas haïr les musulmans ; pour nous chrétiens c’est même exactement le contraire ! C’est d’abord et bien sûr les respecter comme on doit respecter tous les hommes. Et c’est surtout les aimer en souhaitant leur libération de la théocratie totalitaire islamique et c’est aussi prier dans le sillage du Père de Foucauld pour leur conversion à l’amour du Christ dans la plénitude de leur liberté.

Alliance Générale contre le Racisme et pour le respect de l’Identité Française et chrétienne
70, boulevard Saint Germain