J’étais hier aux obsèques de Jean
Madiran, en la chapelle de Notre Dame des Armées à Versailles, célébrées par
Dom Louis-Marie le père abbé du monastère du Barroux.
On lira dans Présent le récit de
ce moment et sans doute, dans peu de jours, le texte de la belle et très juste
évocation de la personne et de l’œuvre de Jean Madiran.
À Lourdes, Jeanne Smits et moi
avions consacré dès le lendemain un large temps à cette évocation qui fut
nécessairement celle de toute une période de l’histoire de notre pays et de
l’Église.
Dans le numéro de septembre de
Reconquête on lira au moins une partie de mon propos.
Pour l’heure, comme annoncé, en
ce mois d’août je ne m’exprimerai ici que très peu. Non pas que je sois en vacances
mais au contraire très pris par la rédaction de mes livres en cours et aussi
celle de Reconquête et de La Griffe.
Deux bonnes nouvelles pour
terminer : l’excellence exceptionnelle de notre université de Lourdes et,
d’ores et déjà, les inscriptions nombreuses au déjeuner d’Amitié Française de
l’Agrif le 5 octobre.