lundi 15 juillet 2013

Pauvre France !

Un 14 juillet socialiste : pas d’économie pour la propagande idéologique.

Hier au soir, après le concert sous la Tour Eiffel, de grande qualité et bien présenté par Stéphane Bern, ce fut le très coûteux feu d’artifice et ses effets de flammes infernales.

Mais surtout, un feu d’artifice prétexte à dévider sur la foule du Champ de Mars et retransmettre sur toutes les chaînes les textes les plus affligeants de la vulgate idéologique antiraciste et de la sans-culotterie hollandienne.


Avec Hollande, la « fémenisation » de la République.

Les médias nous apprennent ce matin que le modèle de la Marianne républicaine va être désormais une de ces personnes appelées « fémènes » rendues célèbres par leurs destructions antireligieuses, à la mode talibane mais en plus déshabillées, en Ukraine et en France et encore par leurs diverses provocations et agressions notamment à notre-Dame de Paris et contre la Manif pour Tous (pour lesquelles l’AGRIF les poursuit).

Aux dernières nouvelles venant de nos informateurs à l’Élysée, la compagne de celui qui nous sert de chef de l’État et qui la trouve si belle, si délicate, si délicieuse, Valérie Trierwieler aurait été empêchée in extremis de se présenter en tenue de Fémène à Vladimir Poutine.

C’est en effet qu’elle a pris goût à ce que François l’appelle tendrement « ma petite fémène » et qu’elle ne veut pas être en reste par rapport au militantisme héroïque de ses modèles.

Surtout, la vérité, c’est que son « compagnon » veut agir à tout prix, demeurer dans la mémoire historique de notre peuple. Non content d’être le grand décideur du mariage homo, il pourrait devenir le premier président « fémène » de l’histoire en incarnant avec Valérie une superbe mutation dans le genre transsexuel.


Mais ce qui est sûr, c’est qu’à ce jour il est d’ores et déjà assuré de rester comme un grand champion dans le genre ridicule.