Un 14 juillet
socialiste : pas d’économie pour la propagande idéologique.
Hier au soir, après le concert sous la Tour Eiffel, de
grande qualité et bien présenté par Stéphane Bern, ce fut le très coûteux feu
d’artifice et ses effets de flammes infernales.
Mais
surtout, un feu d’artifice prétexte à dévider sur la foule du Champ de Mars et
retransmettre sur toutes les chaînes les textes les plus affligeants de la
vulgate idéologique antiraciste et de la sans-culotterie hollandienne.
Avec
Hollande, la « fémenisation » de la République.
Les
médias nous apprennent ce matin que le modèle de la Marianne républicaine va
être désormais une de ces personnes appelées « fémènes » rendues
célèbres par leurs destructions antireligieuses, à la mode talibane mais en
plus déshabillées, en Ukraine et en France et encore par leurs diverses
provocations et agressions notamment à notre-Dame de Paris et contre la Manif
pour Tous (pour lesquelles l’AGRIF les poursuit).
Aux
dernières nouvelles venant de nos informateurs à l’Élysée, la compagne de celui
qui nous sert de chef de l’État et qui la trouve si belle, si délicate, si
délicieuse, Valérie Trierwieler aurait été empêchée in extremis de se présenter
en tenue de Fémène à Vladimir Poutine.
C’est
en effet qu’elle a pris goût à ce que François l’appelle tendrement « ma
petite fémène » et qu’elle ne veut pas être en reste par rapport au
militantisme héroïque de ses modèles.
Surtout,
la vérité, c’est que son « compagnon » veut agir à tout prix,
demeurer dans la mémoire historique de notre peuple. Non content d’être le
grand décideur du mariage homo, il pourrait devenir le premier président
« fémène » de l’histoire en incarnant avec Valérie une superbe
mutation dans le genre transsexuel.
Mais
ce qui est sûr, c’est qu’à ce jour il est d’ores et déjà assuré de rester comme
un grand champion dans le genre ridicule.