Bernard
Antony, président de l’AGRIF, communique :
Tous
les Français ont pu constater hier au soir sur toutes les chaînes de télévision
l’ampleur de l’abjection et du ridicule caractérisant le gouvernement de Mr
Hollande, de son ministre de l’Intérieur, de sa ministre de la Justice et aussi
la posture grotesque du préfet de police de Paris.
Il est évidemment plus facile d’utiliser les CRS et
gardes-mobiles et des hordes de flics en civil pour réprimer les manifestants
pacifiques de la Manif pour tous, y compris en aspergeant de gaz lacrymogène
dangereux des femmes et des enfants. Mais ces dernier, aux yeux de la bande des
sans-culottes qui prétendent nous gouverner, étaient, il vrai, coupables de
crimes tels que de tenir quelques petits fanions ou drapeaux au bout de
dérisoires lattes de bois.
Ces manifestants n’ont jamais rien cassé, jamais brisé
de vitrines, jamais incendié de voitures. Ils ont été par centaines malmenés,
appréhendés, gardés à vue, et même, pour certains de surcroît, emprisonnés deux
jours durant sans l’ombre d’un motif.
Et l’on a même vu aussi de misérables exécutants d’ordres
indignes, caparaçonnés de partout, matraquer avec délectation des mères de
famille.
Hier au soir, c’était une toute autre affaire ! Pour
célébrer la victoire d’un club de sport jadis parisien acheté par l’État
islamiste du Qatar, la faune des racailles avait tenu à être de la fête, selon
leurs us et coutumes ! Et alors, après des heures de casse et de feux de
joie, selon le goût de ces voyous, les vaillantes cohortes de la République de
Hollande, Valls et Taubira, quoique au nombre de 800, n’ont pu procéder qu’à 21
interpellations !
Il est vrai que ces jeunes gens encagoulés n’étaient pas des
« fachos » coupables de faits de défense réactionnaire de la famille
aussi graves que de pousser des landaus avec de petits français dedans. On a
d’ailleurs vu et entendu longuement hier au soir le distingué vice-président de
SOS Racisme chargé du sport, l’inénarrable Hermann Ebongue, avec sa coiffure
« afro » si artistiquement tressée, manifester dans son langage
embarrassé sa compréhension pour la cause des « ultras» et aussi toute sa
reconnaissance pour le Qatar (Bizarre,
vous avez dit bizarre ?).
La vérité, c’est que pour Hermann Ebongue et son
association si richement subventionnée, pas plus que pour dame Taubira, il n’y
a lieu de s’inquiéter des déferlements d’une barbarie pourtant à l’évidence
suscitée par le plus total mépris raciste pour la France et les Français.
L’AGRIF, bien sûr, demande la révocation du préfet de
police de Paris, et aussi, pour leur échec sans cesse amplifié, des ministres
de l’Intérieur et de la Justice. Mais la décision la plus nécessaire, sans
attendre qu’elle soit rendue inéluctable, ce serait celle que Mr François
Hollande devrait prendre dans l’intérêt de la France et son propre
intérêt : sa démission.