On l’a vu hier à la
Télévision : avec une méchanceté hystérique, Frigide Barjot persiste à
traiter d’homophobes et de fachos ceux qui, désormais très nombreux, ne la
suivent pas dans son histoire de CUC.
Jusqu’au bout de la déraison,
elle persiste, elle s’enfonce dans la désastreuse dialectique d’utilisation à
des fins subversives du concept psychiatrique de « phobie ». Un
de ses conseillers, si elle en a encore, pourrait-il lui faire observer que ce
n’est pas parce qu’on ne veut pas passer pour « pédophobe » qu’il
faut être « pédophile » !
Frigide Barjot poursuit donc
hélas dans la voie d’un détournement, à des fins de propagande
pan-homosexuelle, du magnifique élan de refus de la loi Taubira de désintégration
de la société et de déni même de la vie et de l’humanité. Il n’était vraiment
pas nécessaire de combattre cette loi en ne cessant pas d’exalter une affection
préférentielle pour les tenants des pratiques sodomites !
Or, en se targuant sans cesse
selon une inepte et narcissique auto-glorification, d’être une « fille à
pédés », la pseudonymée Frigide Barjot se complaît dans une sorte de
débile provocation de femme saoûle. Certes, cela lui vaut de la complaisance
médiatique et pour un temps encore l’hypnose de quelques ecclésiastiques ne
voulant pas passer pour des pisse-froid moralistes. Mais nous qui ne traînons
vraiment aucun complexe de pudibonderie, nous dénonçons aussi chez cette
Frigide une indécente captation du nom, un indécent détournement de la
notoriété de celle qui certes ne chercha point à être un modèle de vertu, mais
qui fut une grande et belle artiste, et aussi une femme intelligente :
Brigitte Bardot.
Fatigués de l’ostentation
homophile de « frigide », nous lui préférons assurément Brigitte, à
qui nous envoyons avec ce communiqué l’expression de notre bien affectueux
souvenir.