« Lorsque les bornes sont
dépassées, il n’y a plus de limites » disait je crois l’excellent
humoriste de L’os à moelle, Pierre Dac.
L’écoute des radios à laquelle
je consens pendant mon café du matin, et notamment France-Inter payée avec nos
impôts, suffit pour le comprendre.
Ce matin on nous parlait sur
France-Inter de l’une de ces initiatives que le ministère du jauressolâtre
Peillon encourage, à savoir l’introduction à l’école, dès la maternelle, de
bandes dessinées ou de vidéo d’éducation sexuelle, transexuelle, et
transérotique, avec les exemples des pratiques des animaux dont il faut bien
rappeler de plus en plus qu’ils sont nos semblables. Pauvres animaux que l’on
veut dénaturer aussi autant que les humains !
A ce que j’en ai entendu, on
évoque d’ailleurs dans ces instruments pédagogiques, les pratiques des cousins
des chimpanzés, et donc de nous, ces
extraordinaires singes appelés bonobos qui, dit-on, sur les branches
voire entre deux branches, ne font pas beaucoup la guerre mais sans arrêt
« l’amour » au sens où on l’enseigne désormais dans les écoles
publiques et même dans l’enseignement dit libre.
On se souvient que j’avais
d’ailleurs envisagé, devant l’excès de propagande homophile et bisou-bisou de
Frigide Barjot et son projet de char pour les zomos, d’organiser un char aussi
pour les bonobos afin de bien prouver, qu’à La Marche pour tous, l’on
n’était pas bonophobes. Il faut bien quelquefois, pour garder le moral,
ironiser gauloisement sur la débandade sans limite des mœurs avant de vérifier
hélas que l’affliction sera réalité.
Or, voici que déjà de la
médiacrasserie exsudent les expressions des nécessités de légalisation de la
pédophilie. On n’a que l’embarras du choix pour trouver à cette fin des
psychanalystes.
Déjà frétillent d’aise à cette
perspective quelques politiciens rouges-verts et écololâtres, fanatiques
négationnistes de la nécessité de défendre aussi la nature humaine puisque
selon Marx et quelques autres, ce serait un concept réactionnaire.
Alors, observez bien les choses,
on prépare déjà les « enseignants » et les élèves à cette grande
perspective d’émancipation. Et déjà aussi s’annonce la légitimation de
l’inceste : on va apprendre aux petits enfants la vie des incestes plus
encore que celle des insectes. Tout ira donc pour le mieux dans le meilleur des
mondes sodomite et adoptif ? Pas encore cependant, il y aurait manqué la
légalisation de la zoophilie. Rassurez-vous si je puis dire, cela va venir.
Déjà en Allemagne des groupes la réclament. Pauvres animaux ! Mais déjà on
a bien vu en une anticipation prophétique le film « Max, mon amour ».
Demain Christiane Taubira saluera-t-elle le triomphe démocratique du mariage
possible avec le gorille de Médrano ou les gibbons du jardin des plantes ?
Oui, au train où vont les choses
dans le « Lesbian-Fourest-world » on verra peut-être quelques
femhaines en transgression d’homosexualité et en mal de mâles éprouver le désir
du gorille. Alors, on en verra peut-être quelques unes peupler quelque harem
révolutionnaire.
Bernard Antony