jeudi 14 février 2013

Si l’Attentat, en France, réussit, la dissociation diabolique n’en restera pas là.


« Lorsque les bornes sont dépassées, il n’y a plus de limites » disait je crois l’excellent humoriste de L’os à moelle, Pierre Dac.
L’écoute des radios à laquelle je consens pendant mon café du matin, et notamment France-Inter payée avec nos impôts, suffit pour le comprendre.

Ce matin on nous parlait sur France-Inter de l’une de ces initiatives que le ministère du jauressolâtre Peillon encourage, à savoir l’introduction à l’école, dès la maternelle, de bandes dessinées ou de vidéo d’éducation sexuelle, transexuelle, et transérotique, avec les exemples des pratiques des animaux dont il faut bien rappeler de plus en plus qu’ils sont nos semblables. Pauvres animaux que l’on veut dénaturer aussi autant que les humains !

A ce que j’en ai entendu, on évoque d’ailleurs dans ces instruments pédagogiques, les pratiques des cousins des chimpanzés, et donc de nous,  ces extraordinaires singes appelés bonobos qui, dit-on, sur les branches voire entre deux branches, ne font pas beaucoup la guerre mais sans arrêt « l’amour » au sens où on l’enseigne désormais dans les écoles publiques et même dans l’enseignement dit libre.
On se souvient que j’avais d’ailleurs envisagé, devant l’excès de propagande homophile et bisou-bisou de Frigide Barjot et son projet de char pour les zomos, d’organiser un char aussi pour les bonobos afin de bien prouver, qu’à La Marche pour tous, l’on n’était pas bonophobes. Il faut bien quelquefois, pour garder le moral, ironiser gauloisement sur la débandade sans limite des mœurs avant de vérifier hélas que l’affliction sera réalité.

Or, voici que déjà de la médiacrasserie exsudent les expressions des nécessités de légalisation de la pédophilie. On n’a que l’embarras du choix pour trouver à cette fin des psychanalystes.
Déjà frétillent d’aise à cette perspective quelques politiciens rouges-verts et écololâtres, fanatiques négationnistes de la nécessité de défendre aussi la nature humaine puisque selon Marx et quelques autres, ce serait un concept réactionnaire.

Alors, observez bien les choses, on prépare déjà les « enseignants » et les élèves à cette grande perspective d’émancipation. Et déjà aussi s’annonce la légitimation de l’inceste : on va apprendre aux petits enfants la vie des incestes plus encore que celle des insectes. Tout ira donc pour le mieux dans le meilleur des mondes sodomite et adoptif ? Pas encore cependant, il y aurait manqué la légalisation de la zoophilie. Rassurez-vous si je puis dire, cela va venir. Déjà en Allemagne des groupes la réclament. Pauvres animaux ! Mais déjà on a bien vu en une anticipation prophétique le film « Max, mon amour ». Demain Christiane Taubira saluera-t-elle le triomphe démocratique du mariage possible avec le gorille de Médrano ou les gibbons du jardin des plantes ?

Oui, au train où vont les choses dans le « Lesbian-Fourest-world » on verra peut-être quelques femhaines en transgression d’homosexualité et en mal de mâles éprouver le désir du gorille. Alors, on en verra peut-être quelques unes peupler quelque harem révolutionnaire.

Bernard Antony