mercredi 13 février 2013

Conséquences politiques et électorales durables selon les attitudes par rapport à « l’Attentat ».



Comme nous l’avons précédemment mis en relief, le projet de loi de pseudo-mariage homo est très précisément le projet de l’Attentat absolu perpétré par l’orgueil humain visant à faire table rase de ce qui a été depuis l’aube de l’humanité jusqu’à ce jour la loi naturelle indéniable pour tous et, pour les croyants, la loi du Dieu Créateur.

L’attentat vise au cœur l’essence de la réalité humaine, dissociant le couple homme-femme constitutif du genre humain selon la Révélation même de la Genèse. Cette dissociation est d’inspiration parfaitement diabolique, le diable, selon l’étymologie même du mot qui le désigne (du grec  diabolos : « celui qui désunit »), étant le grand diviseur.

Tout le monde sent ainsi, plus ou moins confusément ou clairement, que le projet de loi de dissociation du mariage est le fruit idéologique d’une conception orgueilleuse de l’homme voulant s’ériger en décideur, et même en producteur de la vie et de la mort.

Les hommes politiques prétendant nous représenter et nous gouverner ne peuvent être tenus pour incapables de comprendre cela. D’une part, les réflexions sur l’homme « apprenti-sorcier » ne datent pas d’hier. De l’autre, cette idéologie simultanément constructiviste et nihiliste, sous couvert de la récupération du mot « humanisme », constitue depuis trois siècles le fond permanent et le but des cheminements initiatiques symboliques de la franc-maçonnerie moderne subvertie et subversive.

Tous ceux qui refusent par bon sens naturel ou par conviction religieuse le projet de loi de radicale dissociation sociale ne pourront donc pas voter pour ceux qui l’ont de fait approuvé par une abstention poncepilatesque, ou encore, ont tenu, en termes pesés, à donner à leur refus de manifester une motivation « symbolique »…  très réfléchie.

Aussi les Français du pays réel, du pays libre, ne voteront évidemment plus sur une étiquette.

Par exemple, quels que soient par ailleurs nos désaccords, on préfèrera voter pour une Christine Boutin plutôt que pour une Marine Le Pen qui, par ailleurs, comme l’exprimait samedi l’excellent Eric Zemmour, est « une femme de gauche et même, sur certains plans, d’extrême-gauche ».

Ce qui précède fixe la ligne de positionnement et de mot d’ordre politique et électoral de l‘Institut du Pays Libre.