Ce dimanche 13 janvier dans la rue avec le libre pays réel français contre le pseudo « mariage homo ».
1) Il est débile et surtout mensonger d’oser affirmer que
les Français ne défileraient ce dimanche ni pour des raisons politiques ni pour
des raisons religieuses ou morales.
Car
ils marcheront pour toutes ces raisons et au-delà encore pour les raisons de
défense de l’humanité. C’est pour cette raison que l’Alliance Générale contre
le Racisme et pour le respect de l’Identité Française et chrétienne s’est
totalement engagée dans le combat contre le pseudo « mariage homo ».
En effet, il est la manifestation d’un plus haut degré de racisme, un racisme
de mépris contre la réalité humaine immémoriale, un racisme de haine nihiliste
contre la Création.
2)
Les Français ne se rassembleront évidemment pas contre
« l’homophobie », ni d’ailleurs contre « l’homophilie »,
concepts binaires creux qui leur sont étrangers, propulsés par des
professionnels de l’utilisation subversive et terroriste de la psychiatrie. Ils se rassembleront
pour la vie et l’avenir de leurs enfants et d’une civilisation du respect de la
dignité humaine. Ils affirment donc le droit absolu, pour eux et leurs amis un
peu partout dans les cortèges, d’accomplir une mission de contact,
d’explication idéologique, de réfutation politique bien au-delà de la
répétition de slogans quelquefois un peu niais et à la longue assommants.
Sans
frilosité, ni frigidité, ni tiédeur, nous serons dans la Marche pour dire non
au projet de soi-disant « mariage pour tous » d’un chef de l’État qui
n’a jamais voulu d’un seul mariage pour lui-même, comme d’ailleurs tant
d’autres de ses coreligionnaires maçonniques.
Nous
serons là pour expliquer que le véritable but du « mariage pour
tous », c’est à terme le mariage pour plus personne, selon l’idéologie
nihiliste de l’individualisme absolu.
3)
Nous défilerons sans haine ni mépris pour les personnes d’affectivité
homosexuelle non ostentatoire et conquérante mais sans complaisance pour les
exhibitionnistes des « gay-pride » en mal de laideurs obscènes
sophistiquées car, avec toute la culture juive et chrétienne, nous savons que
Sodome et Gomorrhe ne sont pas des modèles de société durables.
4)
Nous manifesterons pour des raisons politiques parce que l’enjeu est
d’abord, immédiatement, politique. Puisqu’il s’agit de dire non à un projet
de loi, donc à une volonté politique mue par une idéologie nihiliste,
radicalement subversive de l’équilibre humain et révolutionnant les fondements
de la société.
5)
Nos compatriotes sacrifieront souvent ce dimanche leur temps et leur argent
parce qu’ils sentent bien que la dénaturation-destruction du mariage naturel du
couple humain est qualitativement encore plus grave que toutes les autres graves
questions économiques et sociales.
6)
Ils manifesteront donc, ne partageant pas du tout le regrettable esprit de
relativisation de la perversion du projet par certains responsables politiques.
Tout
autant, soit qu’ils l’ignorent, s’en moquent, ou la déplorent, ils ne
manifesteront pas dans l’esprit du Cardinal Vingt-Trois qui, à l’Élysée, n’a
pas abordé la question avec le chef de l’État, déclarant : « Nous
avons parlé de choses plus importantes pour la vie de la République ».
(sic !)
Les
chrétiens évidemment déploreront avec beaucoup de tristesse ce qui peut être
hélas légitimement interprété non comme une banale rouerie diplomatique mais
comme une forme de la tiédeur si durement condamnée par le Christ.
7)
Les dirigeants de l’AGRIF manifesteront politiquement contre l’inique projet de
loi pour toutes les raisons de notre christianisme, des commandements du
Décalogue et de la morale naturelle, mais aussi avec ceux qui, non croyants, le
refusent pour les simples raisons de la loi naturelle et du bien Commun.
Le choix préférentiel de son président, très médité, a
été d’être au milieu de l’immense foule du pays réel, du pays libre français,
dans laquelle beaucoup se rassembleront pour de claires raisons doctrinales
mais pour le plus grand nombre par un sûr instinct de santé morale et sociale.
Bernard
Antony ne désavoue nullement ses amis qui ont choisi de manifester avec Civitas
et d’autres organisations, selon une affirmation plus minoritaire mais sans
doute plus identitaire et communautaire. Bien au contraire, il a demandé à
Maître Jérôme Triomphe, avocat de l’AGRIF, de le représenter auprès d’Alain
Escada, dirigeant de Civitas, une représentation pas seulement
« mentale » mais très concrète d’affirmation d’unité catholique…
Pour tous ceux qui voudront et
pourront nous rejoindre, à dimanche donc, dès 13 h, devant la mairie du XIII°,
place d’Italie, avec Bernard Antony et bien des responsables de l‘AGRIF mais
aussi des prêtres et religieux : abbé de Tanouärn, abbé Laguérie, abbé Pagès, Père Fabrice Loiseau, et aussi Monsieur le pasteur Saïd Oujibou…