jeudi 18 octobre 2012



L’Institut du Pays Libre communique :
Triste journée de masochisme français et d’ignoble trahison de la mémoire : pour une journée franco-algérienne du souvenir, le 5 juillet.

Le gouvernement FLN de l’Algérie, celui des poseurs de bombes, égorgeurs et tortionnaires les plus atroces qui soient se réjouit : une fois de plus par la voix d’un président de la République indigne, l’État français se repent, sans aucune nécessité, sans aucune réciprocité.
Sans doute, en effet, il y a 51 ans, sous Charles De Gaulle, la répression à Paris d’une manifestation d’algériens en France fut-elle non seulement brutale mais absurde ; d’autant plus absurde que le sort hélas de l’Algérie était scellé, celui d’un abandon dans la honte, dans la trahison et dans l’horreur pour nos compatriotes livrés au pire.
Et voici ce jour que des députés socialistes, voulant aller sans cesse plus loin dans l’abjection de la trahison officielle, annoncent que l’an prochain on commémorera  encore et encore cette journée avec une grande participation de députés et officiels algériens invités à s’essuyer les babouches sur un peuple paillasson.
On attendra réciproquement en vain l’esquisse d’un début de commencement de repentance du gouvernement algérien. Mais le remord n’est pas le propre de la nomenklatura fellagha de Mr Bouteflika.
Un gouvernement français digne de ce nom devrait pourtant exiger la reconnaissance du génocide des harkis, de l’horreur indicible des massacres, notamment à Oran le 5 juillet 1962, perpétrés dans l’abomination de l’interdiction faite à notre armée par le gouvernement De Gaulle, Debré, Michelet de sauver nos compatriotes des morts les plus atroces.
Il faudra bien un jour que les gouvernements français et algériens fassent repentance pour nos compatriotes génocidés, pour ceux livrés aux plus atroces mises à mort telles que celles des malheureux égorgés aux crocs de boucherie des abattoirs d’Oran. On attend que ces gouvernements nous disent enfin le sort final des femmes, des jeunes filles, par centaines livrées aux viols les plus sadiques, et dont les survivantes ont connu le plus long, le plus atroce des calvaires dans les lieux de plaisir et d’abattage de la racaille fellagha.
L’Institut du Pays Libre propose à toutes les associations, organisations et partis qui défendent l’honneur de la France et la mémoire des massacres et tortures des dizaines de milliers de nos compatriotes d’Algérie, chrétiens, juifs et musulmans, d’unir leurs forces pour la création d’une grande journée de la mémoire des victimes françaises en Algérie célébrée chaque année le 5 juillet !

Bernard Antony.