Jean-François Copé, hélas !
Oui, je traiterai sous l’angle qui m’intéresse, dans Reconquête, l’affaire soulevée à titre d’exemple par Copé et que je résume par l’expression « la chocolatine ramadanisée ».
J’y évoquerai combien il n’a en somme que trop parlé ou trop peu : par trop ignorant ou par trop timoré, et peut-être les deux, sous ses apparences factices de détermination sans faille.
Copé hélas n’a pas su passer de l’exemple de la chocolatine à une utile méditation sur le croissant, viennoiserie créée pour célébrer la grande victoire de Vienne sur le Croissant.