Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :
Jean-François Copé
miraculé !
Dieu soit loué ! Après une déjà longue vie politicienne accomplie
avec le handicap d’une forme d’autisme l’empêchant de percevoir certains
phénomènes, Mr Jean-François Copé vient de retrouver l’appréhension de la
réalité sociale de notre pays. Il vient donc de découvrir – en septembre 2012 !
– la réalité du racisme anti-blanc.
Il ne s’était pas en effet ému du tout jusqu’ici de ce
phénomène pourtant dénoncé depuis des années et des années par des Français de
toutes races.
Il n’avait pas connaissance d’actes de barbarie raciste tels que
celui auquel je réchappai par miracle le 21 juin 2001 sur la ligne 4 du métro et
que je décrivais ainsi le 22 au matin dans un communiqué :
« Hier au soir,
quittant des amis sur le coup de minuit et ne pouvant trouver un taxi près de
la gare du Nord en raison des encombrements dus à la fête de la musique, je me
suis résolu à prendre la ligne 4 du métro, dont j’ai toujours su l’insécurité,
surtout le soir.
Seul Français de type
européen dans la rame, j’ai aussitôt compris le danger lorsqu’à la station « Les
Halles » une horde d’une trentaine de voyous a fait irruption sans doute
déjà échauffés par quelques coups précédents et dont certains gueulaient « mort
aux blancs », « sales français ».
Par un réflexe
salvateur, j’ai pu bondir et sortir avant que la porte ne se referme, ne
prenant que deux coups dans la tête tandis que l’on me volait mes
indispensables lunettes.
Au commissariat du V°
arrondissement où j’ai déposé plainte, j’ai pu vérifier que contrairement à ce
qui a été dit dans certains médias, un peu partout dans Paris les bandes de
barbares avaient commis leurs méfaits. »
J’appris un peu plus tard que dans la même nuit un cadre de la
boulangerie Poilâne avait été tabassé peut-être par la même bande, il en est
resté hémiplégique.
Monsieur Copé n’avait sans doute pas non plus suivi l’énorme « lynchage
anti-blanc » il y a quelques années, place des Invalides rapporté sous ce
titre, photos à l’appui, dans Paris-Match et Marianne.
Monsieur Copé enfin semble avoir totalement ignoré aussi les
propos racistes de madame Houria Bouteldja que seule l’AGRIF a poursuivie, au
prix d’années d’efforts judiciaires et dont le procès en appel vient ce 15
octobre après un délirant jugement idéologique de relaxe en première instance,
motivant l’appel du Parquet.
Monsieur Copé a pu ainsi ignorer l’incessante propagande de
haine anti-française de cette dernière, de son association « les Indigènes
de la République » et de leur idéologue Saïd Bouamama, auteur du livre « Nique
la France » que l’AGRIF poursuit également.