Blog du 30 août 2012.
Nos
travaux et actions.
« Jean Jaurès – Le mythe et la réalité ».
Je ne commettrai pas ici
l’incongruité de commenter moi-même cet ouvrage qui m’a beaucoup occupé pendant
le premier semestre de cette année. En revanche, j’en commenterai quelquefois
des commentaires.
Le premier à en rendre
compte, à chaud si je puis dire, avec beaucoup de chaleur et son élégance de
plume, a été Alain Sanders. Dans Présent.
Mon livre a été ensuite
mentionné avec celui de Jean-Pierre Rioux dans Valeurs Actuelles dans le
complément « Que lire ? ». Hélas à l’évidence, l’honnête
journaliste venait de le recevoir après la rédaction de son
« papier ». Car, après lecture, je crois qu’il aurait modifié
certaines de ses assertions témoignant d’une insuffisance de lecture de Jaurès.
J’ai suivi le conseil de
montrer ici, même si la lisibilité en est techniquement pas très bonne, la
critique parue dans l’excellent Minute sous la signature de Joël Prieur.
Des propos mus par la
sympathie personnelle sont certes toujours beaucoup mieux venus que de
méchantes allégations et pourquoi donc ne pas avouer qu’ils font plaisir ?
Mais, très franchement, l’important n’est pas là.
L’important, c’est que
Joël Prieur, qui dévore sans cesse des quantités de livres et qui, par
ailleurs, je le sais, se voue à une très haute mission, a pointé de sa plume
dans mon travail l’évocation de quelques aspects assez curieux de la pensée de
Jaurès sur lesquels je m’exprimerai sans doute au long de mes conférences et
entretiens de radio.
Je rappelle en toute
simplicité que les bénéfices de vente du livre, après règlement de l‘éditeur,
vont intégralement au Centre Charlier ou à l’AGRIF.
À commander au Centre
Charlier ou à l’AGRIF, 70 bd St Germain, 75005 Paris, au prix de 30 € franco de
port.
Non au
« mariage » et à l’adoption par les combinaisons homosexuelles (paires ;
triades et mieux peut-être !).
Dans le numéro de
Reconquête à paraître ces jours-ci et dans celui de La Griffe pour très bientôt
aussi, je développe toutes les raisons d’une opposition d’élémentaire bon sens
aux projets de déstructuration sociale. J’ai entendu ce jour madame Roselyne
Bachelot proférer des propos sur la fin du mariage d’antan et la suave
institution nouvelle du mariage homo, par lequel les enamourés de l’homotéthie
feront sublimement part à toute la collectivité de leur tendre affection.
Nul doute que cette
charmante dame, dont l’élocution a la fluidité de la mastication du
rahat-loukoum, se livrera encore à de grands élans de sentimentalité lorsque
les maires pourront déverser toujours plus de guimauve républicaine sur toutes
les combinaisons infinies de « mariages » possibles à deux, à trois,
à sept ou à soixante-neuf avec toutes les variations des orientations sexuelles
enseignées dans l’idéologie du « genre ».
Mais fi de tout
cela : Et si l’animal « totem » à la mode scoute de madame
Bachelot est le cachalot, le Figaro nous apprend aujourd’hui que l’éléphant de
mer qui peut peser jusqu’à trois tonnes et demi, peut descendre lui aussi
jusqu’à 1500 mètres au-dessous de la surface des flots et il peut y rester,
paraît-il, pendant plus d’une heure. Mais c’est à partir de – 300 qu’il se
nourrit de petits animaux luminescents.
La vérité, c’est aussi
qu’on a beaucoup diffamé les phoques qui, ne sont pas du tout pédérastes,
contrairement à la comparaison dont ils sont victimes. La preuve d’ailleurs,
c’est que leur orientation sexuelle, toujours dirigée vers le pôle nord, ne va
que du mâle à la femelle ou réciproquement.
Et c’est bien, comme
l’écrivait le cher Vialatte, parce qu’Allah est grand que l’éléphant, même de
mer, est irréfutable.