vendredi 31 août 2012



Blog du 30 août 2012.


Nos travaux et actions.

« Jean Jaurès – Le mythe et la réalité ».


Je ne commettrai pas ici l’incongruité de commenter moi-même cet ouvrage qui m’a beaucoup occupé pendant le premier semestre de cette année. En revanche, j’en commenterai quelquefois des commentaires.

Le premier à en rendre compte, à chaud si je puis dire, avec beaucoup de chaleur et son élégance de plume, a été Alain Sanders. Dans Présent.

Mon livre a été ensuite mentionné avec celui de Jean-Pierre Rioux dans Valeurs Actuelles dans le complément « Que lire ? ». Hélas à l’évidence, l’honnête journaliste venait de le recevoir après la rédaction de son « papier ». Car, après lecture, je crois qu’il aurait modifié certaines de ses assertions témoignant d’une insuffisance de lecture de Jaurès.

J’ai suivi le conseil de montrer ici, même si la lisibilité en est techniquement pas très bonne, la critique parue dans l’excellent Minute sous la signature de Joël Prieur.

Des propos mus par la sympathie personnelle sont certes toujours beaucoup mieux venus que de méchantes allégations et pourquoi donc ne pas avouer qu’ils font plaisir ? Mais, très franchement, l’important n’est pas là.

L’important, c’est que Joël Prieur, qui dévore sans cesse des quantités de livres et qui, par ailleurs, je le sais, se voue à une très haute mission, a pointé de sa plume dans mon travail l’évocation de quelques aspects assez curieux de la pensée de Jaurès sur lesquels je m’exprimerai sans doute au long de mes conférences et entretiens de radio.

Je rappelle en toute simplicité que les bénéfices de vente du livre, après règlement de l‘éditeur, vont intégralement au Centre Charlier ou à l’AGRIF.  

À commander au Centre Charlier ou à l’AGRIF, 70 bd St Germain, 75005 Paris, au prix de 30 € franco de port.



Non au « mariage » et à l’adoption par les combinaisons homosexuelles (paires ; triades et mieux peut-être !).


Dans le numéro de Reconquête à paraître ces jours-ci et dans celui de La Griffe pour très bientôt aussi, je développe toutes les raisons d’une opposition d’élémentaire bon sens aux projets de déstructuration sociale. J’ai entendu ce jour madame Roselyne Bachelot proférer des propos sur la fin du mariage d’antan et la suave institution nouvelle du mariage homo, par lequel les enamourés de l’homotéthie feront sublimement part à toute la collectivité de leur tendre affection.

Nul doute que cette charmante dame, dont l’élocution a la fluidité de la mastication du rahat-loukoum, se livrera encore à de grands élans de sentimentalité lorsque les maires pourront déverser toujours plus de guimauve républicaine sur toutes les combinaisons infinies de « mariages » possibles à deux, à trois, à sept ou à soixante-neuf avec toutes les variations des orientations sexuelles enseignées dans l’idéologie du « genre ».    

Mais fi de tout cela : Et si l’animal « totem » à la mode scoute de madame Bachelot est le cachalot, le Figaro nous apprend aujourd’hui que l’éléphant de mer qui peut peser jusqu’à trois tonnes et demi, peut descendre lui aussi jusqu’à 1500 mètres au-dessous de la surface des flots et il peut y rester, paraît-il, pendant plus d’une heure. Mais c’est à partir de – 300 qu’il se nourrit de petits animaux luminescents.

La vérité, c’est aussi qu’on a beaucoup diffamé les phoques qui, ne sont pas du tout pédérastes, contrairement à la comparaison dont ils sont victimes. La preuve d’ailleurs, c’est que leur orientation sexuelle, toujours dirigée vers le pôle nord, ne va que du mâle à la femelle ou réciproquement.

Et c’est bien, comme l’écrivait le cher Vialatte, parce qu’Allah est grand que l’éléphant, même de mer, est irréfutable.