vendredi 24 février 2012

Les diffamations de Caroline Fourest.

On m’interroge pour savoir si j’entends poursuivre Caroline Fourest pour la façon dont je suis campé dans la bande dessinée sortie ces jours-ci et intitulée « la vie secrète de Marine Le Pen ».

Je réponds que non, parce que j’ai déjà lancé devant le tribunal de Toulouse une procédure contre la lourde diffamation qu’elle a perpétrée contre moi et contre l ‘AGRIF dans Le Monde du 17 décembre 2011. Et le procès doit venir bientôt.

Dans la bande dessinée, on me traite d’ « intégriste », qualificatif que je récuse bien sûr, n’étant pas de l’espèce mentale et théocratique façon musulmans wahabites ou salafistes ou façon juifs « orthodoxes ».

Et pour ce qui est de ma religion, le catholicisme, je tiens jalousement aussi à sa fondamentale distinction de César et de Dieu, et je ne suis pas du tout partisan, on le sait, de me soumettre à quelque cléricalisme que ce soit, ouvert ou hypocrite. Mais à l’évidence je ne puis exercer un droit de réponse puisque la bande dessinée est un bouquin et non un périodique et pour ce qui est de moi, il n’y a à l’évidence pas matière à en demander la saisie car je m’exposerais alors à une condamnation financière pour procédure abusive. Marine Le Pen, son père, son compagnon et son entourage sont dans ce livre beaucoup plus attaqués que moi. Mais il leur appartient évidemment de réagir ou de ne pas réagir selon leur analyse et aussi leur compétence supérieure à la mienne puisque Marine Le Pen, son compagnon Louis Aliot et encore trois autres dirigeants du Front National également visés sont des avocats.

Suite à notre émission de mercredi dernier sur Radio-Courtoisie.

Des demandes bien amicales me sont adressées afin que je redise les ouvrages dont il a été question dans mon entretien avec Maurice Calmein.

L’ouvrage de Maurice s’appelle :
« Les Français d’Algérie – 50 ans après ». On peut le commander au Centre Charlier en joignant un chèque de 31 € (port compris).
Je rappelle l’adresse : 70 boulevard Saint-Germain, 75005, PARIS.

Nous avons cité aussi le livre de Jean-Jacques Jordi :
« Un silence d’État ». Il est édité par Soteca. Prix de vente en librairie : 25 €.