mercredi 25 janvier 2012

Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :

Inadmissible relaxe d’Houria Bouteldja.

Ce 25 janvier, le Tribunal de Toulouse a considéré, contre le sens commun, que le fait de traiter les français désignés comme « blancs » de « sous-chiens », pour qualifier avec un mépris évident ceux que l’expression commune désigne comme Français de souche, ne relevait pas d’une injure raciste.

Et ce, de surcroît, au mépris du fait qu’Houria Bouteldja appelait, avec suffisance, à « rééduquer ces sous-chiens », selon une expression de sinistre mémoire. Si bien que « sous-chiens » ou « souchiens », comme elle prétendait benoîtement avoir employé ce néologisme, le mépris injurieux et raciste était le même !

Même le ministre de l’Intérieur de l’époque, Mr Hortefeux, avait constaté l’évidente injure et annoncé des poursuites qui ne vinrent jamais.

L’AGRIF a été aussi victime, d’une manière provocatrice, de la malhonnête assimilation par les médias locaux avec le groupe appelé Bloc Identitaire, qui n’était en rien concerné par ce procès. Il avait osé clamer à propos de Mme Bouteldja : « Nous la ferons condamner ! », tout en injuriant le tribunal lors d’un renvoi du procès.

Le tribunal a pu être abusé par cet amalgame médiatique, notamment par La Dépêche du Midi, au mépris de nos protestations jamais publiées. L’AGRIF considère donc que le groupe Bloc Identitaire porte une grave responsabilité de cet échec provisoire.

L’AGRIF attend de lire les attendus du jugement et se prépare à faire appel.