J’ai pris connaissance avec stupéfaction du communiqué du samedi 1er octobre où l’association Bloc Identitaire ose affirmer au sujet du procès intenté par l’Agrif à Madame Houria Bouteldja : « Nous la ferons condamner ». Cela relève d’une malhonnête tentative de récupération.
Le Bloc Identitaire n’est pour rien dans ce procès. L’Agrif n’a strictement aucun lien structurel ou idéologique avec le Bloc Identitaire dont il n’y a aucun membre dans son conseil d’administration ou dans son organisation.
J’ai pu hélas vérifier, en tant qu’invité extérieur à une réunion locale de ce « Bloc » que je ne connaissais guère jusqu’ici, que son discours et ses orientations ne sont pas, sur des valeurs essentielles, compatibles avec celles de l’Agrif.
L’Agrif réagit contre les propos d’incitation à la haine anti-française de Mme Bouteldja qui manifeste plus spécifiquement sa violence contre les blancs qu’elle traite de « sous-chiens » dont elle propose la rééducation s’ils ne se soumettent pas à son dictat islamiste de domination du peuple français.
L’Agrif réunit des milliers de français de toutes races ; parmi eux des noirs qui savent à quoi s’en tenir sur les réalités de l’esclavage musulman jusqu’à nos jours ; des berbères et des arabes chrétiens qui savent ce qu’il en est de l’application de la charia islamique et du principe de dhimmitude.
L’identité française ne se définit pas par une appartenance raciale mais par la langue, l’histoire et la religion chrétienne universelle qui l’ont façonnée. L’Agrif n’oppose pas un quelconque racisme blanc au racisme anti-blanc, anti-français, anti-chrétien d’Houria Bouteldja .
Tout cela est développé dans mon livre : « Vérités sur les esclavagismes et les colonialismes. Réplique à Houria Bouteldja ». Il n’a pas été édité par le Bloc Identitaire mais par un des dirigeants de l’Agrif Richard Haddad.