lundi 26 septembre 2011


À propos de monsieur Déeska.

J’ai reçu un véritable flot d’approbations enthousiastes suite à mon communiqué exprimant, question de liberté, mon refus de l’immense matraquage médiatique pour voir ce monsieur réciter son numéro avec Claire Chazal. Bien sûr, je ne condamne pas du tout ceux qui, sans être esclaves ni conditionnés, se sont fait un devoir de regarder et de juger.

C’est ainsi que, grâce à leurs témoignages,  j’ai pu me faire une idée de cette misérable mise en scène : et je songe en comparaison à ceux dont les propos sont présentés à la télévision, tronqués, déformés, accompagnés de commentaires sans possibilité de réplique, sinon celle d’un hypothétique droit de réponse obtenu après une procédure judiciaire. C’est au moins cela que, grâce à Me Georges-Paul Wagner, j’obtins jadis de TF1 après des propos diffamatoires tenus contre moi par Anne Sinclair.

Comme je n’ai hélas pas beaucoup de mémoire, je consacre chaque mois quelques heures à relire dans ma salle d’archives des articles que j’ai conservés. Je tombe ainsi sur un article de Philippe Labro dans le Figaro du 6 septembre 2010 titré : « Deux sur la balançoire » où il se livrait à une comparaison bien menée, plaisante et même un peu complaisante pour les deux personnages de Martine Aubry et de monsieur Déeska.
De monsieur Déeska, il écrivait ceci : « DSK vient du soleil. Il a l’hédonisme du Séfarade et les neurones de l’Ashkénaze, puisqu’issu de sources familiales multiples (Odessa, Tunis, Alasace, Géorgie, Mongolie). »

Plus loin : « Il est accommodant avec les autres autant qu’avec lui-même. » On a pu en effet le vérifier !
Et sur l’un et l’autre : « Ils ont des corps plutôt ronds, ça rassure les hommes et les femmes ».

Que ses maris aient pu être « rassurés » par le corps de Martine, c’est possible, aux psychanalystes de l’expliquer. (Je ne crois guère à cette pseudo-science…) Mais que les femmes soient rassurées par le corps de monsieur Déeska est plus contestable. Pour deux d’entre elles au moins, il est plutôt « le corps du délit ».
P. S. Pour des raisons de flemme et de désir des plages de mon Sud-Ouest, je ne compte pas, sauf nécessité, m’exprimer ici avant vendredi. À vendredi donc, si Dieu le veut.

N. B. Prochaine émission de la Réplique sur Radio-Courtoisie le mercredi 5 octobre à 18 h.