Le Canard enchaîné, dans son hors-série « Les dossiers du Canard enchaîné » intitulé « Les dégâts de la Marine » de juillet 2011, a consacré à Bernard Antony une pleine page intitulée « L’amer dévôt ».
Dans cet article, il impute à « cinq militants de l’AGRIF » d’avoir commis un attentat ayant fait 13 blessés au cinéma Saint-Michel dans la nuit du 22 au 23 octobre 1988 lors de la projection de La dernière tentation du Christ.
Il s’agit là d’une diffamation faite à l’AGRIF et à Bernard ANTONY.
En effet, les auteurs interpellés et condamnés n’ont jamais fait partie de l’AGRIF ni de CHRETIENTE-SOLIDARITE. Cette action était totalement étrangère à Bernard ANTONY, ce que les enquêteurs savaient si bien qu’ils ne jugèrent même pas nécessaire de l’interroger. A l’inverse, l’action de Bernard ANTONY et de l’AGRIF s’est toujours inscrite dans la légalité notamment par l’action judiciaire.
C’est pourquoi devant cette parfaite calomnie, dont l’objectif est évidemment de décrédibiliser l’action de l’AGRIF qui est la seule association à défendre légalement les seuls droits qu’il est de bon ton de bafouer, elle a chargé Maître Jérôme TRIOMPHE de citer Le Canard enchaîné devant la 17ème chambre correctionnelle pour répondre de cette diffamation.