C'est le ministre de l'éducation nationale Luc Chatel qui parle d'une "altercation pour des raisons sentimentales" et d'une "bagarre qui a mal tourné".
Comme à Bollène, où un jeune ouvrier est décédé il y a quelques semaines après avoir été tabassé à mort par deux sauvages (Le Parisien les nommerait Lothaire et Gaudéric), le ministre pense que la mort est due à la chute au sol de la jeune fille. Il faut mettre en examen le trottoir... ou l'expulser ?
Y.B