jeudi 9 décembre 2010

Le tiers-monde français.


Tout le monde semble étonné devant l’ampleur des problèmes causés par les importantes chutes de neige sur la région parisienne et le nord est de la France.
Quelques réflexions à ce propos :

- où sont les professeurs de réchauffement climatique ? Il neige en décembre, c'est anormal !...

- va-t-on enfin arrêter de nous bassiner avec les alertes jaunes, oranges, rouges à chaque fois qu’il risque de faire chaud, froid ou que neige ou pluie est prévue ? Les situations que l’on observe depuis hier sur les routes montrent que ça ne sert à rien.  Les services publics sont inopérants même quand les alertes sont annoncées 24 heures ou plus à l'avance et qu'elles n’empêchent aucunement les automobilistes de prendre leurs voitures. Comment feraient-ils d’ailleurs ? Ne pas aller travailler ou rester au bureau dès que Météo France  annonce une alerte ? Le pays serait paralysé la moitié de l’année.

- la France est en voie avancée de tiers mondisation planifiée et organisée. Exemple sur ce cas d’actualité : à la mi-novembre, les services du ministère des transports faisaient savoir par le biais des directions interdépartementales des routes (DIR) que dès cette année le déneigement dans tout l’Est de la France ne se ferait que sur une seule voie, celle de droite. La voie de gauche devant attendre huit heures après l’épisode neigeux pour être dégagée à son tour. Raisons invoquées : économie de personnel, de matériel et de sel.

Là comme dans tous les autres domaines (justice, police, sécurité sociale, santé, entretien des infrastructures…), la logique des pouvoirs publics est la même : toujours plus d’impôts, de cotisations et de taxes, toujours plus de normes et d’obligations, toujours moins de services rendus et d'efficacité des pouvoirs publics.

Normal : on ne peut pas financer l’immigration y compris clandestine avec ses coûts faramineux et répondre aux besoins de ces abrutis de contribuables français qui avalent toutes les régressions et acceptent toutes les augmentations fiscales sans broncher…

Yann Baly