lundi 13 septembre 2010

Référendum en Turquie.

La plupart des commentateurs politiques et les responsables de l’Union Européenne se réjouissent de la victoire du oui au référendum sur la révision de la constitution en Turquie. Imbéciles ! Alors qu’il s’agit ni plus ni moins d’une victoire du gouvernement islamique.

Et les Etats-Unis de Barack Hussein Obama poussent toujours à l’entrée dans l’Union Européenne de cet immense cheval de Troie ottoman. Cela semble désormais beaucoup moins appuyé par Israël depuis l’affaire des bateaux « humanitaires » pour Gaza et la rupture des accords militaires avec la Turquie.

On veut croire que l’association France-Israël, dont le président est l’avocat William Goldnadel, n’agira pas pour que soit rénovée cette alliance.

Ce dernier, dans le Figaro de ce jour, publie un excellent article titré : « immigration : le crépuscule des sots ? »

Cela nous éloigne des élucubrations de l’idéologie de l’antiracisme propagée par tant d’intellocrates juifs de gauche.

Goldnadel écrit notamment : « À qui va-t-on faire croire que ceux des Français qui n’ont pas une conception extatique de l’immigration, qui ne considèrent pas forcément qu’elle est « une chance pour la France » en matière de sécurité et que le métissage obligatoire est l’avenir de l’humanité sont de redoutables xénophobes ? À quel jobard peut-on faire gober que des gens du voyage ne peuvent poser problème et que les responsables européens se sont montrés avisés lorsqu’ils ont négocié avec la Roumanie son entrée dans la Communauté, sans que ne soit améliorée chez elle la condition des Roms ?

Pour interdire ce débat, l’idéologie dominante « xénophile » - du même métal que la xénophobie – a eu recours à son arme traditionnelle du terrorisme intellectuel. (...) Que le pouvoir politique en place tente de maîtriser légalement le phénomène migratoire, l’idéologie « xénophile », assurée du soutien d’artillerie médiatique, pilonnera l’opinion publique jusqu’à, sinon la mystifier, au moins la faire douter, l’intimider, lui imposer une conduite morale, un surmoi tétanisant, une abstention dans la manifestation verbale. »

Et d’appeler à ce que vienne enfin le libre débat sur l’immigration. Goldnadel écrit là ce que la droite de conviction n’a jamais cessé de clamer. Il faut s’en féliciter.