À tous les enfants que leurs parents amenaient se nourrir chez Mac Donald de ce que l’on y appelle un Happy Meal, c’est-à-dire un menu à base de graisses, on distribuait un livret de jeux dans lequel ils découvraient ceci : un certain « prêtre » Blork, coiffé d’une mitre, organisant une parodie de mariage entre deux monstres ; devant eux une coupe ressemblant à s’y méprendre à un calice eucharistique ; le « prêtre » lisant dans un missel et brandissant une croix sur laquelle est crucifié un monstre représentant une sorte de grenouille. Ce dessin est accompagné d’un texte à décoder : « Acceptez-vous de prendre Suzanne ici présente pour repas ? »
La chaîne de la « mal-bouffe » faisait ainsi la promotion d’un anti-christianisme minutieusement élaboré, et dont la perversion était parfaitement travaillée. Je n’amenais déjà pas mes petits-enfants ingérer la très chimique et peu ragoûtante becquetance de Mac Donald, mais ce qu’elle distribuait de jeux pour l’accompagner n’était pas autre chose que la volonté d’infiltration d’une haine anti-chrétienne plus écoeurante encore que la pire des graisses.
Cette évidente tentative de distillation de haine anti-chrétienne dans l’esprit des enfants relève des pires procédés de manipulation des régimes totalitaires. L’AGRIF avait chargé son avocat, Me Jérôme Triomphe du Barreau de Paris, de mener à bien la procédure qui s’imposait contre pareille dégueulasserie.
Par ailleurs, fort heureusement alertés par l’excellent blog d’informations Le Salon Beige, les protestations commençaient à affluer chez Mac Donald et le réseau militant de l’AGRIF s’apprêtait à mettre en œuvre les actions de riposte appropriées contre Mac Donald que nous avions déterminées. Mac Donald a décidé de retirer le livret de jeux.
Notre avocat ne poursuivra donc pas la procédure mais les chrétiens français sauront se souvenir de ce que chez Mac Donald on cherchait à faire absorber d’horrible par le cerveau des petits enfants en sus des décoctions graisseuses pour leur estomac.