Lorsque la « double peine » est évoquée cela donne de l’urticaire aux bradeurs de la France, sauf si elle concerne les Français dans ce cas la « double peine » se transforme en « peines multiples ». Le traitement par nos politiciens des récents évènements qui se sont déroulés dans l'enceinte du Stadium Nord, lors de la rencontre entre Lille et le Paris Saint-Germain, le 16 janvier dernier en sont une démonstration.
Michèle Alliot-Marie, ministre de la Justice et des Libertés (sic) en faisant allusion à ces désordres publics le 4 mars sur R.T.L., affirmait qu'il fallait « aller vers la tolérance zéro » pour lutter contre les violences autour et dans les stades de football, elle a qualifié de « gens un peu débiles », les supporters qui commettent de ces violences et elle se félicitait de la possibilité de pouvoir dissoudre les groupes de supporters violents.
Ce qui est étrange c’est que lorsqu’il s’agit de supporters étrangers qui mettent la France à « feu et à sang » nos bons politiciens se trouvent subitement muets comme des carpes, le moulin à soliloques complètement bloqué.
Ainsi lorsque les Algériens mirent la France en feu après le match Égypte-Algérie le 14 novembre dernier aucune personnalité n’est venu qualifier les Algériens de « gens un peu débiles », aucun responsable politique n’a parlé d’aller vers la « tolérance zéro » ou de pouvoir « dissoudre » les supporters algériens, c’est-à-dire de les renvoyer chez eux pour qu’ils cassent l’Algérie plutôt que la terre hospitalière de la France ce qui s’appelle en bon français « cracher dans la soupe ».
Si nous n’avons aucune estime envers les manifestations violentes autour des matchs de football, force est de constater qu’il vaut mieux être Algériens que Français de souche quant aux sanctions concernant ces délits. Les supporters du Paris Saint-Germain cumulent deux handicaps ils sont violents et ils sont Français ! Tare rédhibitoire dans notre microcosme politique français d’aujourd’hui. D’où les multiples peines, ils sont poursuivis, peuvent être dissous, interdits de déplacement et enfin traiter de « débiles » par les plus hautes autorités de l’État. Eh bien ! Puisque nous sommes partisans de l’égalité des peines et des traitements, nous affirmons haut et fort que les Algériens qui ont ravagé la France en novembre dernier sont des débiles qu’il faut, au contraire des supporters du Paris Saint-Germain, surtout déplacer, c’est-à-dire expulser !
Louis CHAGNON
Michèle Alliot-Marie, ministre de la Justice et des Libertés (sic) en faisant allusion à ces désordres publics le 4 mars sur R.T.L., affirmait qu'il fallait « aller vers la tolérance zéro » pour lutter contre les violences autour et dans les stades de football, elle a qualifié de « gens un peu débiles », les supporters qui commettent de ces violences et elle se félicitait de la possibilité de pouvoir dissoudre les groupes de supporters violents.
Ce qui est étrange c’est que lorsqu’il s’agit de supporters étrangers qui mettent la France à « feu et à sang » nos bons politiciens se trouvent subitement muets comme des carpes, le moulin à soliloques complètement bloqué.
Ainsi lorsque les Algériens mirent la France en feu après le match Égypte-Algérie le 14 novembre dernier aucune personnalité n’est venu qualifier les Algériens de « gens un peu débiles », aucun responsable politique n’a parlé d’aller vers la « tolérance zéro » ou de pouvoir « dissoudre » les supporters algériens, c’est-à-dire de les renvoyer chez eux pour qu’ils cassent l’Algérie plutôt que la terre hospitalière de la France ce qui s’appelle en bon français « cracher dans la soupe ».
Si nous n’avons aucune estime envers les manifestations violentes autour des matchs de football, force est de constater qu’il vaut mieux être Algériens que Français de souche quant aux sanctions concernant ces délits. Les supporters du Paris Saint-Germain cumulent deux handicaps ils sont violents et ils sont Français ! Tare rédhibitoire dans notre microcosme politique français d’aujourd’hui. D’où les multiples peines, ils sont poursuivis, peuvent être dissous, interdits de déplacement et enfin traiter de « débiles » par les plus hautes autorités de l’État. Eh bien ! Puisque nous sommes partisans de l’égalité des peines et des traitements, nous affirmons haut et fort que les Algériens qui ont ravagé la France en novembre dernier sont des débiles qu’il faut, au contraire des supporters du Paris Saint-Germain, surtout déplacer, c’est-à-dire expulser !
Louis CHAGNON