Communiqué de Bernard Antony
Avec Nicolas Sarkozy, comme premier de cordée pour progresser vers les sommets de l’utopie de Jacques Attali, les encordés de l’UMP et autres boutinistes et villiéristes ont dévissé et ont douloureusement chuté, lors des élections régionales.
On ne saurait le déplorer : leur fausse droite est essentiellement celle de la culture de mort, de la dénationalisation de notre peuple, du déracinement et du métissage idéologique et étatique.
Sur l’essentiel, c’est à dire sur le respect de la vie, sur la liberté et la dignité humaine, la conception de la patrie et de la civilisation, rien, si l’on pèse leurs actes, ne les oppose fondamentalement à la gauche socialiste et écololâtre moins hypocrite peut-être mais sans doute plus acharnée à niveler plus vite économiquement et socialement les « citoyens ».
C’est dire qu’il ne faut guère attendre de bonne politique pour nos provinces de la part des majorités régionales qui seront élues dimanche prochain.
Le Front national a certes enrayé son déclin. Il faudra observer si cela va entraîner sa reconstruction doctrinale.
Il a bénéficié de l’extraordinaire publicité faite à l’excellente affiche de ses jeunes militants provençaux grâce au procès liberticide intenté par la connivence algéro-licrasseuse.
Ce déni dictatorial de liberté politique a formidablement replacé dans l’opinion Jean-Marie Le Pen dans un rôle d’opposant, qu’il avait hélas abandonné, à l’impérialisme algérien en France et à l’islamisation qui, redisons-le ici, est plus un phénomène idéologique, politique et social que religieux.
La réception accordée à l’affiche a brutalement détourné le président du Front national de la ligne de son discours de la dalle d’Argenteuil, de sa fréquentation de l’ambassade d’Iran et de ses diverses connivences islamophiles.
Si le F.N. retrouvait ses fondamentaux du respect de la vie et du refus de l’islamisation de la France, cela serait une très heureuse chose.
Avec Nicolas Sarkozy, comme premier de cordée pour progresser vers les sommets de l’utopie de Jacques Attali, les encordés de l’UMP et autres boutinistes et villiéristes ont dévissé et ont douloureusement chuté, lors des élections régionales.
On ne saurait le déplorer : leur fausse droite est essentiellement celle de la culture de mort, de la dénationalisation de notre peuple, du déracinement et du métissage idéologique et étatique.
Sur l’essentiel, c’est à dire sur le respect de la vie, sur la liberté et la dignité humaine, la conception de la patrie et de la civilisation, rien, si l’on pèse leurs actes, ne les oppose fondamentalement à la gauche socialiste et écololâtre moins hypocrite peut-être mais sans doute plus acharnée à niveler plus vite économiquement et socialement les « citoyens ».
C’est dire qu’il ne faut guère attendre de bonne politique pour nos provinces de la part des majorités régionales qui seront élues dimanche prochain.
Le Front national a certes enrayé son déclin. Il faudra observer si cela va entraîner sa reconstruction doctrinale.
Il a bénéficié de l’extraordinaire publicité faite à l’excellente affiche de ses jeunes militants provençaux grâce au procès liberticide intenté par la connivence algéro-licrasseuse.
Ce déni dictatorial de liberté politique a formidablement replacé dans l’opinion Jean-Marie Le Pen dans un rôle d’opposant, qu’il avait hélas abandonné, à l’impérialisme algérien en France et à l’islamisation qui, redisons-le ici, est plus un phénomène idéologique, politique et social que religieux.
La réception accordée à l’affiche a brutalement détourné le président du Front national de la ligne de son discours de la dalle d’Argenteuil, de sa fréquentation de l’ambassade d’Iran et de ses diverses connivences islamophiles.
Si le F.N. retrouvait ses fondamentaux du respect de la vie et du refus de l’islamisation de la France, cela serait une très heureuse chose.