Chacun sait que le racisme est devenu le sempiternel sujet évoqué par nos pseudo élites, ce qui leur permet, pendant qu’elles occupent les esprits à inventer des racistes dans un pays qui l’est le moins, d’éviter les sujets qui fâchent, comme la dette publique, les retraites ou le déficit de la Sécurité sociale, quant au chômage, du moment que les entreprises n’embauchent plus de « mâles blancs », tout va très bien madame la marquise Lauvergeon.
Dernière élucubration sortie des neurones du ministre des Affaires Étrangères et Européennes, Bernard Kouchner, et du Ministre de l'Intérieur, de l'Outre-mer et des Collectivités territoriales, Brice Hortefeux, la création d’une « mission conjointe de réflexion sur la lutte contre le racisme et le communautarisme en France » Noble cause ! Certainement destinée à faire monter l’aiguille du racistomètre français. Et quel noble héraut ont-ils trouvé pour placer à la tête de cette mission ? Ni plus ni moins que Patrick Lozès, le président du Cran, Conseil Représentatif des Associations Noires de France, association à caractère racial puisqu’elle exclut les associations d’individus n’ayant pas la peau noire. À mourir de rire ! Vous me direz que tout compte fait, le choix est judicieux, car en fait de racisme, Patrick Lozès est bien placé pour en parler.
Nos gouvernants sont capables de tout non seulement ils sont capables de confier la réflexion sur la lutte contre le racisme et le communautarisme au responsable d’une organisation raciale et communautariste, mais ils sont capables aussi de confier une mission de réflexion sur le grand emprunt à Alain Juppé et Michel Rocard qui ont participé à dilapider l’argent public lorsqu’ils étaient au gouvernement, pourquoi ne pas faire juger les crimes communistes par Marie-George Buffet puisqu’elle admet aujourd’hui : « On aurait dû condamner ces régimes, on les a seulement critiqués (...). On a parlé de bilan globalement positif, on a toujours essayé de justifier quelque part ces régimes alors qu'ils étaient voués à l'échec. » Quel monde merveilleux ! Confier au bourreau le soin de juger ses complices ! Je suppose que nous verrons bientôt des pédophiles soutenir d’autres pédophiles sur nos antennes, veuillez m’excusez, j’avais oublié, ils ont déjà osé.
Si le mur de Berlin est tombé, en tout cas, celui de la honte, lui, est encore bien solide et de nombreux noms pourraient y être inscrits.
Quant à cette fameuse mission contre le mur du racisme et du communautarisme qui s’élèverait toujours en France, elle aurait pour but d'examiner : « tous les moyens de "combattre efficacement" le racisme et le communautarisme en France, en vue de la remise d'un rapport aux ministres concernés, dans un délai de deux mois » Nous aurions plusieurs suggestions à soumettre à Patrick Lozès, entre autres, de demander à Bernard Kouchner de démissionner afin de laisser sa place à un noir, ou bien de demander à Brice Hortefeux de démissionner afin de donner sa place à un maghrébin, quant à monsieur Patrick Lozès, il pourrait lui aussi démissionner afin de laisser sa place à un blanc et pourquoi pas lancer la création d’un C.R.A.B., un Conseil Représentatif des Associations Blanches de France, qui lutterait contre le racisme anti-blanc. À n’en pas douter, le C.R.A.B., lui, aurait largement de quoi s’occuper.
Louis CHAGNON
Dernière élucubration sortie des neurones du ministre des Affaires Étrangères et Européennes, Bernard Kouchner, et du Ministre de l'Intérieur, de l'Outre-mer et des Collectivités territoriales, Brice Hortefeux, la création d’une « mission conjointe de réflexion sur la lutte contre le racisme et le communautarisme en France » Noble cause ! Certainement destinée à faire monter l’aiguille du racistomètre français. Et quel noble héraut ont-ils trouvé pour placer à la tête de cette mission ? Ni plus ni moins que Patrick Lozès, le président du Cran, Conseil Représentatif des Associations Noires de France, association à caractère racial puisqu’elle exclut les associations d’individus n’ayant pas la peau noire. À mourir de rire ! Vous me direz que tout compte fait, le choix est judicieux, car en fait de racisme, Patrick Lozès est bien placé pour en parler.
Nos gouvernants sont capables de tout non seulement ils sont capables de confier la réflexion sur la lutte contre le racisme et le communautarisme au responsable d’une organisation raciale et communautariste, mais ils sont capables aussi de confier une mission de réflexion sur le grand emprunt à Alain Juppé et Michel Rocard qui ont participé à dilapider l’argent public lorsqu’ils étaient au gouvernement, pourquoi ne pas faire juger les crimes communistes par Marie-George Buffet puisqu’elle admet aujourd’hui : « On aurait dû condamner ces régimes, on les a seulement critiqués (...). On a parlé de bilan globalement positif, on a toujours essayé de justifier quelque part ces régimes alors qu'ils étaient voués à l'échec. » Quel monde merveilleux ! Confier au bourreau le soin de juger ses complices ! Je suppose que nous verrons bientôt des pédophiles soutenir d’autres pédophiles sur nos antennes, veuillez m’excusez, j’avais oublié, ils ont déjà osé.
Si le mur de Berlin est tombé, en tout cas, celui de la honte, lui, est encore bien solide et de nombreux noms pourraient y être inscrits.
Quant à cette fameuse mission contre le mur du racisme et du communautarisme qui s’élèverait toujours en France, elle aurait pour but d'examiner : « tous les moyens de "combattre efficacement" le racisme et le communautarisme en France, en vue de la remise d'un rapport aux ministres concernés, dans un délai de deux mois » Nous aurions plusieurs suggestions à soumettre à Patrick Lozès, entre autres, de demander à Bernard Kouchner de démissionner afin de laisser sa place à un noir, ou bien de demander à Brice Hortefeux de démissionner afin de donner sa place à un maghrébin, quant à monsieur Patrick Lozès, il pourrait lui aussi démissionner afin de laisser sa place à un blanc et pourquoi pas lancer la création d’un C.R.A.B., un Conseil Représentatif des Associations Blanches de France, qui lutterait contre le racisme anti-blanc. À n’en pas douter, le C.R.A.B., lui, aurait largement de quoi s’occuper.
Louis CHAGNON