Communiqué de l'AGRIF
Lors du procès en première instance de l’AGRIF contre Charlie-Hebdo, l’avocat du journal avait plaidé pendant une heure en faisant le catalogue des ignominies que nous n’avions pas poursuivies.
D’une part, l’AGRIF n’a pas les moyens de tout poursuivre. D’autre part, elle ne veut et ne peut encombrer les tribunaux des provocations de Charlie-Hebdo qui, pour être blasphématoires, ne tombent pas, même si on peut le déplorer, sous le coup de la jurisprudence. L’AGRIF entend poursuivre en revanche les sommets d’abomination de Charlie-Hebdo qui sont autant d’incitation à la haine contre les Chrétiens.
Ainsi, dans sa livraison du 21 octobre 2009, Charlie-Hebdo a commis trois dessins agressant odieusement les chrétiens dans leur ensemble sous prétexte d’enquêter sur l'Opus Dei sur la base d’un mauvais scénario de Dan Brown.
Le premier représente en une le Christ, les deux mains martyrisées sur le gibet de la croix, tenant deux valises pleines de billets et déclarant « c’est dur d’être financé par des cons ».
En page intérieure, un dessin représente la Cène où la consécration du pain et du vin en corps et sang de Jésus-Christ est transformée en distribution de billets de banque avec un sous-titre : « les voies financières de Dieu resteront impénétrables ».
Enfin, en dernière page, le Christ, reconnaissable à sa couronne d’épines, ouvre largement son slip débordant de billets de banque en déclarant : « le paradis fiscal, c’est ici ».
Ce n’est pas l'Opus Dei, prétexte de l’article, qui est attaquée mais Jésus-Christ, présenté trois fois comme le fondateur d’une religion basée sur l’argent. C’est une odieuse provocation à la haine anti-chrétienne que l’AGRIF a chargé l’un de ses avocats de poursuivre.
Lors du procès en première instance de l’AGRIF contre Charlie-Hebdo, l’avocat du journal avait plaidé pendant une heure en faisant le catalogue des ignominies que nous n’avions pas poursuivies.
D’une part, l’AGRIF n’a pas les moyens de tout poursuivre. D’autre part, elle ne veut et ne peut encombrer les tribunaux des provocations de Charlie-Hebdo qui, pour être blasphématoires, ne tombent pas, même si on peut le déplorer, sous le coup de la jurisprudence. L’AGRIF entend poursuivre en revanche les sommets d’abomination de Charlie-Hebdo qui sont autant d’incitation à la haine contre les Chrétiens.
Ainsi, dans sa livraison du 21 octobre 2009, Charlie-Hebdo a commis trois dessins agressant odieusement les chrétiens dans leur ensemble sous prétexte d’enquêter sur l'Opus Dei sur la base d’un mauvais scénario de Dan Brown.
Le premier représente en une le Christ, les deux mains martyrisées sur le gibet de la croix, tenant deux valises pleines de billets et déclarant « c’est dur d’être financé par des cons ».
En page intérieure, un dessin représente la Cène où la consécration du pain et du vin en corps et sang de Jésus-Christ est transformée en distribution de billets de banque avec un sous-titre : « les voies financières de Dieu resteront impénétrables ».
Enfin, en dernière page, le Christ, reconnaissable à sa couronne d’épines, ouvre largement son slip débordant de billets de banque en déclarant : « le paradis fiscal, c’est ici ».
Ce n’est pas l'Opus Dei, prétexte de l’article, qui est attaquée mais Jésus-Christ, présenté trois fois comme le fondateur d’une religion basée sur l’argent. C’est une odieuse provocation à la haine anti-chrétienne que l’AGRIF a chargé l’un de ses avocats de poursuivre.